1 Les réactions de ces femmes n’auront probablement rien d’homogène et seront même plus contradictoires qu’aucun récit ne peut

2 ent, à première vue, que le chrétien ne peut plus rien , que personne ne l’écoute plus, qu’on le laisse parler dans ses templ

3 au contraire tellement précis qu’on ne veut plus rien voir au-delà. Trop de chefs nous crient : en avant ! sans avoir osé r

4 e : une politique chrétienne qui réussit n’a plus rien de chrétien que le prétexte. Les Églises se livrent au jugement du mo

5 ême des Kagawa, ni même des salutistes, — pour ne rien dire de ces deux amis auxquels nous pensons tous ce soir et qui, du f

6 e Esprit ou celui de L’Ordre nouveau , pour ne rien dire de plusieurs autres moins notoires, — le grand principe qui les

7 si qu’il s’agit là d’une révolution profonde, car rien n’est plus profond qu’un changement de l’état d’esprit qui préside au

8 squ’il s’agit de politique, — et qu’on n’arrive à rien quand on vise si haut. Des malins, des parlementaires, des technicien

9 a Bible est la Parole de Dieu, et nous ne pouvons rien savoir de Dieu que par Sa révélation dans cette Parole. Le Saint-Espr

10 . Une Église dont la théologie est vague n’a plus rien à dire dans le domaine de la culture. Une telle Église peut donner un

11 et un guide. Premièrement, donc, si l’Église n’a rien à donner, si elle n’a rien à exiger de la culture, cette dernière s’e

12 donc, si l’Église n’a rien à donner, si elle n’a rien à exiger de la culture, cette dernière s’en trouvera appauvrie et dés

13 t tout perdu ; mais celles qui l’ont gagnée n’ont rien gagné ; elles ont seulement repoussé une menace, au prix de sacrifice

14 sure, d’ambitions spirituelles, de « dévotion » à rien d’avouable… Toute la culture de l’Occident — musique, peinture, philo

15 chambre ; par des mystiques qui n’auront l’air de rien  ; par des hommes dont on dira qu’ils exagèrent, qu’ils rêvent, qu’ils