1 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
1 t pas au nom d’un parti que Paul ébranle l’Empire romain , ce n’est pas au nom d’un parti que Luther et Calvin déclenchent la p
2 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
2 te théologie. C’est ainsi que l’Église catholique romaine fut à la tête du mouvement philosophique du Moyen Âge, que les réform
3 ement culturel. Plus tard, lorsque les théologies romaines et réformées s’atrophièrent, elles n’osèrent plus, ni ne purent davan
4 n raison du manque de stricte théologie. L’Église romaine a mieux retenu les forces de création intellectuelles parce qu’elle e
3 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
5 nt autant de mal aux Églises que les persécutions romaines aux premiers temps leur avaient fait de bien. Partout, l’on vit au co
6 ement mystique s’éteindre au sein du catholicisme romain , tandis que le théocentrisme transcendantal des réformateurs faisait
4 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
7 e protestant leur convient aussi peu que celle de romain , surtout au premier. Que nous reste-t-il ? 2° On ne peut déduire de c
8 et la France. L’Espagne et l’Italie, profondément romaines , n’ont pas produit de nos jours de grands écrivains catholiques, et,