1
t pas au nom d’un parti que Paul ébranle l’Empire
romain
, ce n’est pas au nom d’un parti que Luther et Calvin déclenchent la p
2
te théologie. C’est ainsi que l’Église catholique
romaine
fut à la tête du mouvement philosophique du Moyen Âge, que les réform
3
ement culturel. Plus tard, lorsque les théologies
romaines
et réformées s’atrophièrent, elles n’osèrent plus, ni ne purent davan
4
n raison du manque de stricte théologie. L’Église
romaine
a mieux retenu les forces de création intellectuelles parce qu’elle e
5
nt autant de mal aux Églises que les persécutions
romaines
aux premiers temps leur avaient fait de bien. Partout, l’on vit au co
6
ement mystique s’éteindre au sein du catholicisme
romain
, tandis que le théocentrisme transcendantal des réformateurs faisait
7
e protestant leur convient aussi peu que celle de
romain
, surtout au premier. Que nous reste-t-il ? 2° On ne peut déduire de c
8
et la France. L’Espagne et l’Italie, profondément
romaines
, n’ont pas produit de nos jours de grands écrivains catholiques, et,