1
, que dans la mesure où l’on est décidé à refuser
tous
les conflits concrets et les décisions qu’ils comportent. Nous refuso
2
e l’attitude de service et de sacrifice qui, dans
tous
les domaines, fait de lui un révolutionnaire, l’homme du risque oppos
3
molir, avec une sorte de minutieuse indifférence,
tous
les récits bibliques relatifs à la sépulture, au tombeau vide, aux ap
4
n est frappé de voir que le récit se trouve, dans
tous
les cas, affadi et banalisé. Si l’on voit bien ce qui pouvait pousser
5
; — ne faisons pas les dégoûtés : nous y pensons
tous
plus ou moins, et beaucoup d’entre nous y travaillent. Il ne sera pas
6
t à une classe honorable, et jouit à vingt ans de
tous
les avantages qui sont chez nous ceux de la grande bourgeoisie. Mais
7
afoué, injurié, battu, exploité sans vergogne par
tous
les matamores et souteneurs qu’il a choisis pour voisins, pour procha
8
onde. Mais, direz-vous encore, nous ne sommes pas
tous
des Jérémie, des Paul, des Luther, des Calvin, ni même des Kagawa, ni
9
rien dire de ces deux amis auxquels nous pensons
tous
ce soir et qui, du fond de leur prison, tout près d’ici, posent à not
10
n pas de gâcher du ciment ? Si nous nous mettions
tous
à faire de l’action sociale, à jouer les Kagawa, et à vivre dans les
11
, malgré les doutes des suiveurs ; 2° vous pouvez
tous
, tant que vous êtes, aider le mouvement personnaliste à se développer
12
ice et d’une vérité déjà descendue sur la terre ?
Tous
les autres auraient le droit de m’arrêter en me disant : nous préféro
13
e applicable à votre vérité trop désintéressée, —
tous
les autres, mais pas les chrétiens. Tous les autres auraient le droit
14
essée, — tous les autres, mais pas les chrétiens.
Tous
les autres auraient le droit de m’opposer la sagesse de ce siècle en
15
r clarté, qui réussissent à mettre à la portée de
tous
, sans l’affaiblir ni la fausser, la « théologie » chrétienne la plus
16
ou en résolvant par quelque ingénieuse synthèse —
tous
les paradoxes chrétiens qui gênent si fort notre humaine raison. Mais
17
ituation d’après-guerre La jeunesse de presque
tous
les pays du monde aura été soumise à plusieurs années de service mili
18
la propagande, la nécessité vitale de simplifier
tous
les problèmes, de juger selon des besoins utilitaires plutôt que selo
19
irection ferme et vraiment catholique (embrassant
tous
les aspects de la vie), l’abîme s’élargira entre le monde religieux e
20
its et les devoirs de la critique théologique sur
tous
les plans et pas seulement d’une façon négative et restrictive. Que p
21
e politique, la Transcendance de son chef, contre
tous
les absolutismes nationaux, étatiques, partisans. Si jamais un esprit