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il s’agit bel et bien de savoir quel sens l’homme
veut
donner à sa vie, comment il doit vivre pour mieux vivre. Mais alors,
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de sa dialectique critique, et si généreux que se
veuille
le second dans ses attaques contre un christianisme confondu d’ailleu
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fique » nullement sceptique ; c’est même, si l’on
veut
, une façon paradoxale de donner tout leur prix aux quelques faits qui
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que les preuves matérielles dont l’esprit humain
voudrait
toujours les faire dépendre. Il nous rappelle ainsi que la foi vérita
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ire de la plupart des historiens modernes qui ont
voulu
déduire de leur critique la relativité des articles de foi, M. Goguel
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de grâce — précisément par nos actions ! — et je
voudrais
mettre l’accent sur ce mot-là, afin que vous ne pensiez pas qu’il ne
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précis, ou au contraire tellement précis qu’on ne
veut
plus rien voir au-delà. Trop de chefs nous crient : en avant ! sans a
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des fins dernières de l’homme, et cela, qu’ils le
veuillent
ou non ? Et s’ils le voient, comment peuvent-ils encore éluder si cav
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soulagées. C’est déjà quelque chose. Mais Kagawa
veut
davantage. Il fonde les premiers syndicats du Japon, il conduit une g
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qui condense très bien la substance de ce que je
voudrais
vous faire comprendre maintenant. La voici : « Dans des époques de tr
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règle centrale de pensée et d’action, ou si l’on
veut
, pour simplifier, de leur morale. Et toute morale se fonde dans une r
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e tyrannie qui s’appelle la grande presse, et qui
voudrait
se faire prendre pour l’opinion publique, alors qu’elle n’est en fait
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ra ce courage, si les chrétiens ne l’ont pas ? Où
voulez
-vous aller si vous refusez cette chance ? Et comment un chrétien pour
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aissions Dieu être Dieu en nous ». Brunner semble
vouloir
nous amener à prier la prière de la foi : « Je crois, Seigneur, viens
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lismes religieux et virulents. Mais si une Église
veut
être en mesure d’intervenir dans le développement de la culture, elle
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à créer. Et quelque chose doit être créé si nous
voulons
éviter que la culture de demain se développe selon des voies qui s’él
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utiles, mais qui ne sont jamais règles de vie. Je
voudrais
une sociologie chrétienne pour le xxe siècle, et je la voudrais fond
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ciologie chrétienne pour le xxe siècle, et je la
voudrais
fondée sur la situation d’un groupe de frères prenant la communion. 2