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; il se demande parfois ce qu’il a bien pu venir
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faire ; il se demande à quoi rime cette horrible « Histoire », illust
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e devant la « vie pratique » — comme on dit, mais
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en a-t-il une autre ? —, une attitude qui se mêle constamment à l’exi
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x conflits naturels. Il vit dans un monde où il n’
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aura bientôt plus — se dit-on — ni luttes sociales, ni lutte contre l
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ance — peu importe le nom qu’il leur donne ; — il
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trouve sa raison de vivre, c’est-à-dire de lutter pour devenir une pe
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prudents, si soucieux de logique, si incapables d’
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atteindre, si aveuglés sur leurs contradictions ? N’étaient-ils pas,
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u miracle ; elle se trahit elle-même quand elle s’
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essaie. Dire que « Christ est ressuscité », c’est énoncer une vérité
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la cité, et les hommes qui habitent la cité, il n’
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a plus aucune proportion. Mais ce n’est pas la cité seule qui a chang
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e meilleur ; — ne faisons pas les dégoûtés : nous
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pensons tous plus ou moins, et beaucoup d’entre nous y travaillent. I
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sons tous plus ou moins, et beaucoup d’entre nous
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travaillent. Il ne sera pas dit que l’homme chrétien est moins humain
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e avant d’avoir posé ces trois questions, avant d’
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avoir répondu ? Oh, je sais bien que le monde d’aujourd’hui retentit
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hue et à dia, et personne ne sait où il va. Il n’
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a plus de commune mesure entre la pensée et l’action. La cité n’est p
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ne se donne pas pour un mouvement chrétien ; vous
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trouverez des hommes de toutes croyances et de toutes incroyances. Ma
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mettez-vous en rapport avec leurs groupes : vous
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trouverez toute une tactique nouvelle d’action sociale, toute une tac
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le mouvement des biens de la puissance matérielle
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est fonction des hasards d’opérations de Bourse, par exemple, et non
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’un point de vue spécifiquement chrétien. Il doit
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avoir, par exemple, une redéfinition des « quatre libertés » dans les
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et que tout l’enseignement, dans chaque matière,
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soit dominé par la doctrine de l’Église en question, comme c’est le c
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il peut ! Il le doit, et de toute urgence ! S’il
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échoue, je ne vois aucune raison d’attendre autre chose, pour le mond