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s de la liberté démocratique ? Je veux parler des
États
scandinaves, et du plus purement luthérien d’entre eux, la Finlande.
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pourrait amener ce soldat à refuser de défendre l’
État
qui persécute son Église. Dis-moi pour qui tu acceptes de mourir, je
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celui qu’elles portent à la conservation de notre
État
. Or nous devons croire exactement le contraire, je le répète : nous d
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n de l’arbitrage pacifique et du droit des petits
États
. Quant à l’Allemagne de l’Est, c’est à la cause du communisme tout en
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ue nous avions sous les yeux en 1931-1932 était l’
État
centralisé français, le modèle de tous les États-nations. Nous entend
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appareil étatique sur l’ensemble d’une nation, l’
État
imposant les mêmes frontières, le même territoire, aux réalités les p
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qu’au sous-sol ! Notre critique s’adressait à ces
États
centralisés, mais j’avais, je pense, derrière la tête, l’idée de leur
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pense, derrière la tête, l’idée de leur opposer l’
État
fédératif, le modèle suisse. J’avoue qu’à ce moment-là je connaissais
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la Suisse, dès 1848, un danger certain : voilà un
État
fédéral, entouré d’États-nations et qui, vis-à-vis d’eux, ses voisins
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toujours plus cher, plus dangereux, et permet à l’
État
de mieux contrôler les investissements, les mouvements de fonds, et l