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econnaître les péchés du parti que nous adoptons.
Car
je vois que tous les partis sont, dans le fait, au service de grandes
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tique sur le monde. Ce dernier point est capital.
Car
, après tout, si Nicolas est l’un des Pères de notre Confédération, c’
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oi, celle des saints apôtres et de nos ancêtres !
Car
c’est par la seule force de Dieu que nos ancêtres se sont libérés des
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tionné !) N’y a-t-il pas là une grande anomalie ?
Car
, enfin, l’élément le plus spectaculaire de la vie de Nicolas réside d
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ommunes un sens spirituel, une vocation positive.
Car
le chrétien est, si j’ose dire, un spécialiste de la vocation. Cette
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de, faites-nous la grâce de n’en point vouloir »,
car
« la société qui veut m’ôter ma religion m’effraie bien moins que cel
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ité en général, dans l’absolu et dans l’abstrait.
Car
tout dépend de ceci : vis-à-vis de quoi, ou de Qui, est-on tiède, est
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ne réunion de toutes les confessions chrétiennes.
Car
en nous faisant entrevoir la possibilité d’une catholicité nouvelle,
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d inoffensif aux yeux de la plupart d’entre nous.
Car
si le diable est simplement le démon rouge et cornu des mystères médi
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t dans elle, que nous avons le pouvoir de pécher.
Car
pécher c’est tricher avec l’ordre, opposer à la loi divine nos déroga
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ue le diable ne pourrait rien sans notre liberté.
Car
c’est par nous seulement qu’il agit dans le monde, et c’est en provoq
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e mis au monde. Monstrueuse création du mensonge,
car
le mensonge, par essence, n’est pas ! C’est une espèce de décréation.
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a sexualité. C’est une vue bien bornée du péché !
Car
même dans le cas où le fruit mangé par Ève signifierait ce que l’on c
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ardon, une fois qu’on a trahi le bien et le réel.
Car
douter du pardon nous replonge dans le mal, avec la sombre jouissance
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prit, la possibilité d’une tentation s’entrouvre.
Car
il n’y a pas de tentation là où n’existe aucune possibilité d’imagine
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est classique au point d’en être presque démodée.
Car
Satan marche avec son temps, et paraît se soucier de moins en moins d
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elles-là l’auraient eu ce courage ! Ô mensonge !…
Car
une foule est une abstraction qui n’a pas de mains, mais chaque homme
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mensonge. Exactement : une fuite devant le réel.
Car
dans le réel, nous savons bien qu’il y a du mal, qu’il y a l’action d
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Nous l’écartions irrésistiblement de nos pensées…
Car
si ce « trop affreux » eût été vraiment vrai, il eût fallu agir d’urg
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i simple ! Ne fût-ce que pour le moral militaire.
Car
, ainsi qu’aimait à le répéter un fameux général autrichien, Conrad vo
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croire qu’il ne peut ressembler qu’à vos ennemis,
car
c’est à vous-mêmes qu’il s’arrangera toujours pour ressembler le plus
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ter chez autrui, et de l’y combattre avec succès.
Car
alors seulement, vous serez guéris de votre naïveté invraisemblable d
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rsaires ne diffèrent pas essentiellement de nous.
Car
tout homme porte dans son corps (et dans son âme) les microbes de tou
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encens et devait être en bonne odeur à l’Éternel,
car
cet homme avait le cœur pur. À quelques mètres derrière lui suivaient
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chanson, que nous ne verrons jamais rien venir :
car
l’élan est donné, le mouvement est en marche, et plus rien ne peut l’
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nlieue poussiéreuse de la Terre. … et inhabitée !
Car
l’essentiel des rêves des poètes ou de Cyrano de Bergerac, c’était d’
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e qu’elle est complètement fausse ? Sûrement pas,
car
la recherche spatiale, l’arrivée sur la Lune notamment, est d’une par
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visées dans ces nouvelles dimensions de l’espace.
Car
si vous prenez une doctrine comme le christianisme, dont la base est
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ut bien que l’homme moderne en prenne conscience,
car
c’est probablement la dernière chance que nous avons de sortir de la