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nent vraiment qu’au nom du Christ ? Pourquoi donc
ces
dictateurs iraient-ils protéger en Espagne une Église qu’ils attaquen
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ère ! J’aimerais beaucoup qu’on ne déduise pas de
ces
propos qu’à mon avis les chrétiens doivent se taire, se retirer dans
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al de Nicolas, qui incommodaient au suprême degré
ces
hommes d’État enrichis par les pensions et le service étranger. (R. D
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lui-même, le célèbre successeur de Zwingli. Tous
ces
auteurs admettent et louent le miracle du jeûne prolongé de Nicolas.
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ues. Après tout, dit l’auteur, à quoi se résument
ces
conseils ? À ceci : « que chacun doit rester sur son fumier » ! Mais
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conseils du frère Claus, nous serions délivrés de
ces
valets qui, sous prétexte de foi, trafiquent et jettent la discorde p
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e style, l’inspiration biblique, au premier chef.
Ces
quelques mots sont bien rapides, je le sens. Je les termine dans l’an
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un moyen d’esquiver des questions plus directes.
Ces
questions, je les repose ici. On pourra différer d’avis sur les consé
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ré la « résistance » qu’auraient représentée tous
ces
catholiques allemands), je poserai un problème délicat : Comment expl
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de mourir, je te dirai en qui tu crois vraiment…
Ces
deux exemples contradictoires posent la question la plus brûlante de
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éciale du citoyen chrétien, ce sera de dégager de
ces
données communes un sens spirituel, une vocation positive. Car le chr
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de la nation, voire à la discipline des troupes.
Ces
personnes-là, vous les reconnaîtrez infailliblement à ces quelques tr
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onnes-là, vous les reconnaîtrez infailliblement à
ces
quelques traits : elles ont une conception de la « religion » plutôt
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’abord. Gardons-nous du Schweizer Christentum ! À
ces
Schweizer Christen dont je viens de parler, j’opposerai cette déclara
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y arrêtent : « Comment peut-on perdre son temps à
ces
balivernes d’un autre âge ? », disent-ils. Or ce sont eux qui s’y lai
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es anges, mais bien la candeur et la crédulité de
ces
« sceptiques », et l’impardonnable sophisme dont ils se montrent les
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que. Le diable est le père du faux art, de toutes
ces
œuvres qui ne sont « ni bien ni mal », parce que l’acte dont elles na
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Les scènes du Blocksberg sont le pendant exact de
ces
plaisirs démoniaques, qui consistent à se perdre soi-même, à se laiss
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mark bourgeois, pieux et confortable, il écrivait
ces
lignes prophétiques ? Il assistait aux troubles révolutionnaires qui
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lisme. Lui seul avait vu le diable à l’œuvre dans
ces
œuvres — les nôtres à nous, nations démocratiques. Kierkegaard a comp
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a, dans la règle, deux mains, et lorsqu’il porte
ces
deux mains sur Marius, ce sont ses mains, non celles du voisin, et no
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— aux grands événements qui opposent les Nations,
ces
abstractions personnifiées ; et les Révolutions incarnées par leurs c
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rleurs, la presse et les transports rapides. Mais
ces
moyens techniques n’ont pas tout fait : l’homme les a faits d’abord,
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nt être éliminés par des mesures adroites. Toutes
ces
croyances, en grande partie superstitieuses, ont eu pour principal ef
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colorié, toujours la cause du mal dont souffrent
ces
sauvages est indépendante d’eux-mêmes. À l’inverse, le christianisme
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italistes, nous croyons qu’en déplaçant vers nous
ces
mêmes objets, nous sauverons tout. Si nous sommes de braves démocrate
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serait nullement suffisant pour nous en délivrer.
Ces
signes personnifient des possibilités qui existent en nous aussi, des
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n détail fortuit dans un être ou une œuvre ; tous
ces
traits qui pourraient dénoter l’exigence d’un artiste véritable, pren
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moral peut fort bien être préféré par le diable à
ces
milieux bohèmes et de mœurs relâchées qui se croiraient volontiers da
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Mais ils ont dit Nation, ou Race, ou Classe. Dans
ces
trois entités divinisées, le moi n’est plus déguisé qu’en un nous. Et
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sées, le moi n’est plus déguisé qu’en un nous. Et
ces
trois entités ont ceci de commun : elles ne sont responsables de rien
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atuts de l’Assemblée européenne seraient terminés
ces
jours-ci, à Londres. Il eût été bien beau de faire coïncider cette an
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sais : tout dépend d’une seule chose, l’avenir de
ces
enfants et celui de nos pays, tout dépend d’une seule chose, qui est
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très vaste, mais aussi très vague. Il se promène
ces
jours-ci dans les rues et cafés de Paris, avec un gros livre sous le
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s, et vous savez comment la Suisse a su atteindre
ces
trois buts, en se fédérant il y a cent ans. Si l’on a bien vu cet enj
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on aurait pu consacrer ne fût-ce qu’une partie de
ces
100 milliards de francs suisses à augmenter la beauté de notre Terre,
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nts peuvent dire que ce sont eux qui transforment
ces
colonels en projectiles à têtes chercheuses. Les savants pourraient d
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losophiques et morales devront être révisées dans
ces
nouvelles dimensions de l’espace. Car si vous prenez une doctrine com
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nt le club de Rome ! J’ai repris la discussion de
ces
idées anticroissance avec les premiers personnalistes que j’ai rencon
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mpte nous-mêmes. La cause européenne, la lutte de
ces
dernières années ont épanoui nos recherches des années 1930. La guerr
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jusqu’au sous-sol ! Notre critique s’adressait à
ces
États centralisés, mais j’avais, je pense, derrière la tête, l’idée d