1 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). De Luther à Hitler (15 mars 1940)
1 me qu’elle a suffisamment duré. Je suis prêt à la dénoncer dans toutes les revues et dans tous les journaux qui veulent bien pub
2 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
2 r et de laisser les autres s’égarer, quitte à les dénoncer ensuite pathétiquement du haut de la chaire ! Or l’action d’un chréti
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
3 ement contribué à la réussite du premier tour que dénonce Baudelaire. Beaucoup s’y arrêtent : « Comment peut-on perdre son temp
4 e des contes de bonnes femmes. Cependant la Bible dénonce l’existence du diable à chaque page, de la première où il apparaît so
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
5 sitôt qu’il nous a pris il est le premier à nous dénoncer devant Dieu de la manière la plus impitoyable. Non par amour de la ju
5 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
6 ndividuelles. Et c’est là seulement qu’on peut la dénoncer . n. Rougemont Denis de, « Les tours du diable VI : Le mal du siècl
6 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VII : La cinquième colonne (26 novembre 1943)
7 tte, va se loger de préférence chez celui qui l’a dénoncé , et qui se tient pour assuré dans sa bonne conscience. Au moment où v
7 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
8 la mentalité magique. Nous pensons que celui qui dénonce le mal comme fondamental doit être lui-même très méchant. Nous croyon
8 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
9 auf sur moi. Le fait est que dès ce moment-là, je dénonçais la croissance illimitée dans un monde fini — 44 ans avant le club de
10 État-nation, qui résume à peu près tout ce que je dénonce  : la dépersonnalisation, la perte de responsabilité (donc de liberté)