1 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
1 mé. Et celui qui demande à voir, celui qui estime encore que tout n’est pas si clair, ni si simple, ni si tranché, se voit aus
2 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
2 s’il était besoin d’une attestation plus décisive encore , voici celle de Luther en personne. Il écrit dans une lettre à Sperat
3 ouvera-t-elle son pacificateur ? Le mérite-t-elle encore  ? Saura-t-elle l’écouter ? Puisse du moins le souvenir de Nicolas de
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
4 l’époque contemporaine. Même quand nous croyons «  encore  » en Dieu, nous croyons si peu au diable que l’on m’accusera certaine
5 iment trop facile d’y croire : qui s’en donnerait encore la peine ? De fait, j’ai connu beaucoup d’hommes qui voulaient bien a
6 étude de l’auteur. Nous nous proposons d’apporter encore , dans nos prochains numéros, quelques-unes des pages remarquables qu’
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
7 e vérité, qui subsistait ailleurs et nous jugeait encore . Mais le mensonge diabolique tue le juge. Il ne part que de soi, et n
5 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
8 , que le mal finira par exister en soi, apparence encore , mais active, contre nature devenue seconde nature. Et c’est à ce mom
9 e pour s’innocenter ! Pour échapper, à sa manière encore , aux conséquences du mal que l’on a fait ; pour se châtier soi-même s
6 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
10 s essayons de conjurer le mal en le niant : c’est encore la mentalité magique. Nous pensons que celui qui dénonce le mal comme
7 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
11 rétablirons la paix et la prospérité. Nous sommes encore en pleine mentalité magique. Comme de petits enfants en colère, nous
8 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
12 Europe va se faire. La seule question qui se pose encore , c’est de savoir comment elle se fera. Peut-être n’est-il pas mauvais
13 a paix, la paix vivante et passionnante qui reste encore possible, et qui dépend de nous. Il y a très peu de grandes visions.
9 1961, La Vie protestante, articles (1938–1978). Bilan simple (29 décembre 1961)
14 elle veut se fédérer. Et bien sûr, tout n’est pas encore gagné. Mais en demandant son accession à ce Marché commun qu’elle aff
10 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
15 oyens d’une espèce non pas de coopération — c’est encore trop tôt — mais de coexistence. C’était aussi l’opinion. Si vous voul
16 ce. Et cela me ramène à l’amour de la Terre. Plus encore , cela me ramène à cette idée que la véritable aventure humaine est à
11 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
17 u bien, pas seulement du mal ; que nous pourrions encore sauver l’humanité — je ne dis pas dans un sens spirituel — dans un se
18 ent physiologique, de manière que l’histoire dure encore . Je sais bien, si on s’en rapporte à l’Apocalypse, que l’histoire tem
19 es qui appartiennent à cinq pays (et je simplifie encore ). Si le fédéralisme consiste à confier aux diverses communautés — mun