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jà, depuis vingt ans, on nous a sommés de choisir
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le Mal et le Bien incarnés. « Au nom du Christ ; nous disait-on, en a
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que l’on nous invite à défendre, et qui comporte
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autres éléments le chômage et la prostitution, se fonde vraiment sur
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on pure d’Hitler. Mais c’est une douteuse méthode
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les mains des défenseurs de la « Raison » et de la « claire latinité
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de combien vous le volez : une vérité reste juge
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vous. Mais le démon vous induit à fausser la balance elle-même, c’est
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disait que le diable est un monsieur très bien ?
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les gens du monde et le Prince de ce monde, les mots suggèrent, dans
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père : « Je fais mon affaire du bonhomme ! dit-il
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ses dents. Voici son plan qu’il a laissé tomber en donnant une pièce
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ps de l’Europe où les frontières et les barrières
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nos peuples fondraient comme neige sous le soleil d’avril. Imaginez c
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n’ont disparu en se fédérant, mais où les guerres
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nations deviendraient aussi impossibles que la guerre entre nos canto
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ons deviendraient aussi impossibles que la guerre
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nos cantons. Imaginez ensuite cette grande Europe aussi décidée que l
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t ! A-t-on remarqué le parallélisme, si frappant,
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la fin de la domination mondiale par nos nations, et les débuts de le
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nt aller là-bas. Alors il y a un petit jeu subtil
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les militaires et les savants, dans cette affaire ? Les savants peuve
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la Lune notamment, est d’une part une concurrence
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les Américains et les Russes, mais d’autre part elle suppose certaine
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à dire à une jeunesse aujourd’hui assez partagée
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une certaine résignation (le « bof ») et une certaine révolte ? C’est
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une guerre qui n’était pas la sienne, une guerre
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États-nations (ce terme, c’est nous qui l’avons forgé, nous étions le
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dération de la croissance, d’équilibre à rétablir
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l’homme et la nature : tout cela était déjà dans nos revues, dans nos
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ne société formée de petites communautés fédérées
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elles. Là, chacun peut être libre à sa manière, s’épanouir dans sa vo