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chrétiens : Voici la Bête ! Et la guerre que vous
ferez
contre elle, au nom du Christ, sera vraiment une guerre sainte. Trois
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suspecté de connivence avec les « méchants ». Il
fait
leur jeu, dit-on, même s’il se croit sincère. C’est un naïf, ou un ru
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dans toute la presse qu’il possède en Europe, le
fait
vraiment au nom de l’Évangile ? Et je me demande si cet ordre établi
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chrétiens qui se lancent dans une croisade ne le
font
-ils que pour sauver l’Église ? Et même dans ce cas, est-ce une raison
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ns. Car je vois que tous les partis sont, dans le
fait
, au service de grandes religions adversaires de la foi chrétienne : P
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une auteur romand dont la réputation n’est plus à
faire
. Nous lui laissons volontiers la parole, convaincus que nos lecteurs,
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pauvre illuminé, mais d’un solide confédéré qui a
fait
ses preuves dans la vie quotidienne. Notons ensuite qu’au lieu d’entr
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Les autres réformateurs de la Suisse allemande en
font
autant. Joachim von Watt, ou Vadian, le savant humaniste fondateur de
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un ouvrage sur la Vie monacale. Il insiste sur le
fait
que l’ermite n’a nullement rompu ses liens avec sa paroisse, mais, au
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ajoute-t-il, il n’a pas établi sa demeure tout à
fait
à l’écart du monde, mais au contraire près des habitations de sa fami
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e de l’histoire de l’Église chez les protestants,
fait
l’éloge de Nicolas dans un ouvrage au titre significatif : « Catalogu
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res dialoguées, datées de 1526 et de 1538 ; elles
font
intervenir l’ermite du côté des réformés, ennemis du régime des pensi
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er les versets qu’on lui avait enseignés. Je l’ai
fait
parler le plus possible en style biblique, conscient de me ranger ain
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isse du moins le souvenir de Nicolas de Flue nous
faire
comprendre que le paix n’est jamais le résultat de nos calculs, mais
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toutes les Églises sont appelées, par ailleurs, à
faire
un « front commun » contre la religion totalitaire ? L’auteur d’un li
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e en plus d’un livre ? Certes, on pourra toujours
faire
jouer la balançoire dialectique : le blanc conduit au noir, le bien a
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t-il né catholique ? Oui ou non, le second a-t-il
fait
emprisonner le premier ? Oui ou non, l’Allemagne préhitlérienne fut-e
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Oui ou non, l’intronisation d’Hitler est-elle le
fait
de von Papen, catholique ? Oui ou non, l’Allemagne comptait-elle, dep
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nt luthérien d’entre eux, la Finlande. Si l’on me
fait
l’honneur de répondre franchement, je m’engage à reconnaître que Luth
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doit naturellement s’insérer dans les données de
fait
qui sont celles du pays, et qui se trouvent être communes à tous les
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pas pour vous, mais seulement pour tout le monde,
faites
-nous la grâce de n’en point vouloir », car « la société qui veut m’ôt
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Je voulais simplement rappeler ceci : c’est qu’on
ferait
bien de ne pas utiliser comme des proverbes généraux certaines parole
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er et inspirer par la tradition spirituelle qui a
fait
leur force : la tradition personnaliste et fédéraliste de la Réforme.
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e toutes les confessions chrétiennes. Car en nous
faisant
entrevoir la possibilité d’une catholicité nouvelle, elle nous délivr
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t c’est notre fidélité même à la Réforme qui nous
fait
nous réjouir d’une perspective où nos « ismes » disparaîtraient pour
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croire : qui s’en donnerait encore la peine ? De
fait
, j’ai connu beaucoup d’hommes qui voulaient bien admettre en souriant
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e croire au diable à cause de l’image qu’ils s’en
font
, et qui est tirée des contes de bonnes femmes. Cependant la Bible dén
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tre parties du monde pour les tromper et pour les
faire
se battre sans raison alléguée, et finalement flamboyé par le feu du
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nsable de la nature naturante, mais il peut aussi
faire
la grève, se révolter, et fabriquer l’anti-nature ou dénature. Cette
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ez. Parions même que vous mettrez vos scrupules à
faire
des pesées rigoureuses, peut-être à rajouter quelques pincées « pour
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du corps, le diable ne s’y mêlerait pas. Mais en
fait
elle se lie à l’amour, et à l’esprit, et c’est par là qu’elle va se p
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endue. Le diable est cet Accusateur qui veut nous
faire
douter de notre pardon pour nous forcer à fuir dans les remèdes du pi
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tatistique. La duplicité infernale, c’est de nous
faire
croire qu’il n’y a pas de juge, ni d’ordre divin du réel, et aussitôt
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lité d’imaginer quelque autre chose que l’état de
fait
. On dit bien : l’occasion fait le larron. Vous n’êtes pas tenté d’all
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hose que l’état de fait. On dit bien : l’occasion
fait
le larron. Vous n’êtes pas tenté d’aller dans la lune, parce que vous
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aller, si l’on vous suggérait quelque moyen de le
faire
. Ève ne pensait même pas à manger cette pomme avant que le serpent n’
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ue Dieu offre, un bien que l’on se figure « mieux
fait
pour soi ». Ève ne fut pas tentée par une chose mauvaise, mais par un
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a conçu vaut mieux que le vrai bien. « Le méchant
fait
une œuvre qui le trompe. » Or, c’est parce qu’il se trompe d’abord qu
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olupté unique et suprême gît dans la certitude de
faire
le mal. » Mais ici se sont déclenchés les mécanismes compliqués de la
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anière encore, aux conséquences du mal que l’on a
fait
; pour se châtier soi-même sans réparer. C’est le mystère du suicide
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humanité qui se donne au diable, de nos jours, le
fait
en masse. C’est pour cela que les gens se rassemblent en troupeaux, p
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moi, on ne sait plus ce que l’on est en train de
faire
ou de dire, on ne sait plus ce qui parle à travers vous, tandis que l
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ue personne peut-être ne saurait dire qui l’avait
fait
ou qui avait commencé, celles-là l’auraient eu ce courage ! Ô mensong
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n Eden, il a recours au même et unique artifice :
faire
croire à l’homme qu’il n’est pas responsable, qu’il n’y a pas de Juge
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Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu
fait
cela ? La femme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé.
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cher les occasions d’être dépossédé de soi. Elles
font
de chacun de nous un sujet prédisposé à l’hypnose collective, une vic
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apides. Mais ces moyens techniques n’ont pas tout
fait
: l’homme les a faits d’abord, et ce n’est point par hasard qu’il a f
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its d’abord, et ce n’est point par hasard qu’il a
fait
ceux-là et non d’autres. Les véritables causes et racines du phénomèn
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diable est l’être qui, lorsqu’une dénonciation le
fait
déguerpir de sa cachette, va se loger de préférence chez celui qui l’
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ons ! Voilà le grand secret. Le diable a réussi à
faire
croire aux démocrates qu’ils n’aimaient pas du tout le mal, qu’ils ne
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rtueuses indignations du puritain tenté et qui se
fait
une caricature du vice d’autrui pour éviter de le reconnaître en lui-
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est en vous seulement que vous le prendrez sur le
fait
. Et alors seulement, vous serez en état de la dépister chez autrui, e
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tianisme s’est efforcé depuis des siècles de nous
faire
comprendre que le Royaume de Dieu est en nous, que le Mal aussi est e
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discours sur les ondes courtes. Nous oublions ce
fait
fondamental : c’est qu’en réalité nos adversaires ne diffèrent pas es
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z ce qui se passe dans le monde, et dites qui l’a
fait
. Le diable ? Oui, mais par nos mains et nos pensées. C’est ici le mom
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technique des pompiers et des gendarmes. Cela ne
fait
pas de nous des saints. Cela n’implique même pas que nous soyons « me
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res ». Mais nous serons sûrement pires si nous ne
faisons
pas notre métier. q. Rougemont Denis de, « Les tours du diable IX
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ont responsables de rien devant personne, s’étant
faites
elles-mêmes les critères de toute vérité purement humaine, et décréta
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ux lorsqu’il nous tue, que lorsqu’il prétend nous
faire
vivre. Il est moins dangereux dans nos vices que dans nos vertus sati
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es instants, poussant du coude son compère : « Je
fais
mon affaire du bonhomme ! dit-il entre ses dents. Voici son plan qu’i
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ces jours-ci, à Londres. Il eût été bien beau de
faire
coïncider cette annonce du renouveau européen avec la fête de la Résu
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emblée consultative. Certainement, l’Europe va se
faire
. La seule question qui se pose encore, c’est de savoir comment elle s
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i se pose encore, c’est de savoir comment elle se
fera
. Peut-être n’est-il pas mauvais que la conférence des Dix ambassadeur
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es1, prenne son temps. Il y a deux semaines, elle
faisait
bon accueil aux propositions détaillées que les délégués de notre Mou
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, qui est celle-ci : les hommes d’État chargés de
faire
l’Europe auront-ils la vision nécessaire ? Les grandes visions I
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te grande Europe aussi décidée que la Suisse à ne
faire
la guerre à personne, mais à défendre d’un seul cœur son indépendance
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r la paix du monde entier, alors le principal est
fait
. Et si les Dix ambassadeurs à Londres ont bien vu cela, ils ne se lai
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une vision libératrice et fascinante. L’Europe se
fera
, parce qu’une équipe de véritables résistants — ceux qui résistent à
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ant que champion de la paix et du désarmement, en
faisant
éclater trente bombes atomiques en deux mois. À Goa, l’Inde a perdu l
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st à la cause du communisme tout entier qu’elle a
fait
perdre la face, en bâtissant le mur de Berlin non pour se protéger co
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st question que du « miracle européen ». C’est un
fait
: la montée vers une prospérité sans précédent s’est opérée dans le t
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ne rêverie d’intellectuels. Tel est sans doute le
fait
majeur qui marquera l’année 1961 aux yeux de l’histoire. En offrant a
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nt, l’Europe exercerait sur l’URSS, comme elle le
fait
déjà sur les États-Unis, une attraction irrésistible. Et le Grand Occ
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qui vient et pour la suite ! Presque tout reste à
faire
, il est vrai. Sachons du moins à quels grands buts lointains nous pou
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: La Réforme permanente. La Réforme ne s’est pas
faite
une fois pour toutes. Luther et Calvin n’ont pas été les premiers réf
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de ma pensée sur l’aventure d’« Apollo », je vous
ferai
remarquer ceci : on dit que c’est une aventure scientifique, mais qu’
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iaux ? Pas des savants, mais des colonels. Et ils
font
cela en service commandé : au service de l’armée américaine. Et génér
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paulette. Néanmoins, ce sont les savants qui les
font
aller là-bas. Alors il y a un petit jeu subtil entre les militaires e
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nce scientifique. Probablement que les militaires
font
le même raisonnement en sens inverse. Qui faut-il croire ? Les vérita
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tations mises sur orbite autour de la Terre — qui
feront
des observations sur le temps, sur le trajet des nuages ou des maladi
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c’est pour cela qu’on était parti et qu’on avait
fait
tout ce programme si coûteux ! Il s’est produit exactement la même hi
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saient de beaucoup ce que nous sommes en train de
faire
. Le rêve dévalorise l’actualisation de la découverte de la Lune. Cyra
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mandent le moins d’argent et qui finissent par se
faire
en un clin d’œil, à la vitesse de la pensée. Eh bien ! l’aventure int
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rre Desgraupes sur Apollo 11. Cet entretien avait
fait
impression. Nous en donnons le texte ici, et Denis de Rougemont dit,
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ans le monde où nous existons, même la nature est
faite
par l’homme, il n’y a plus de nature sauvage. Il faut bien que l’homm
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t l’espérance que, par notre action, nous pouvons
faire
du bien, pas seulement du mal ; que nous pourrions encore sauver l’hu
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pessimiste, si je pensais qu’il n’y a plus rien à
faire
, je n’écrirais pas — ou je raconterais des histoires. Si j’ai écrit c
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i j’ai écrit ce livre, c’est que je prends tout à
fait
au sérieux l’avertissement d’Isaïe (ch. 21, v. 12) : « Sentinelle, qu
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taine révolte ? C’est un manque d’information qui
fait
dire « bof » à des jeunes gens. Si on vient leur parler de menaces su
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ie physique de l’humanité, ça les embête, ça leur
fait
peur — comme à tout le monde, il ne faut pas s’en cacher. Ils ne se s
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es hebdomadaires inventent de temps en temps pour
faire
monter le tirage… Par quel cheminement de votre existence en êtes-vou
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épouvantable ce que cet homme-là est en train de
faire
! J’ai publié mon article dans une petite revue qui ne comptait que q
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Vie ), cela n’a eu aucun effet, sauf sur moi. Le
fait
est que dès ce moment-là, je dénonçais la croissance illimitée dans u
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non — qui voyait très bien qu’elle allait devoir
faire
la guerre, une guerre qui n’était pas la sienne, une guerre entre Éta
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la guerre, l’évidence s’est imposée qu’il fallait
faire
l’Europe tout de suite, sinon on recommencerait une autre guerre. La
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et son rayonnement, pire : elle l’a faussée. On a
fait
croire au monde entier que ce qu’il fallait copier de nous, c’étaient
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oui nos recherches des années 1930. La guerre n’a
fait
qu’interrompre… Elle a interrompu, mais en nous donnant raison ! héla
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ie. Vous êtes membre du Groupe de Bellerive : que
fait
-il ? C’est un groupe de personnalités internationales habitant Genève
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nucléaires fournissent le plutonium qui permet de
faire
des bombes. Tout cela donc fait l’unité de mon livre : mon souci dern
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um qui permet de faire des bombes. Tout cela donc
fait
l’unité de mon livre : mon souci dernier est d’éviter la guerre nuclé
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pas contre la sexualité, comme on voulait nous le
faire
croire au xixe siècle. (Voyez Matt. 4 et Luc 4.) On ne peut pas voul