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ier » ! Mais Nicolas n’a-t-il pas dit aussi qu’il
fallait
garder l’« ancienne foi » ! Voilà le conseil que les protestants devr
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d’avis sur les conséquences des réponses. Mais il
faut
répondre d’abord. Oui ou non, Niemöller est-il bon luthérien ? Oui ou
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s ! Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne
faut
pas parler de neutralité en général, dans l’absolu et dans l’abstrait
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t pour se fondre dans une Église plus vaste. S’il
fallait
que je dise en une phrase ce qui m’attache à l’Église protestante, pl
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moi le déluge » et des « tant pis pour moi ». Il
faut
croire au pardon pour oser confesser le mal qu’on a commis ; pour ose
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». Pour qu’il n’y ait plus de responsabilité, il
faut
qu’il n’y ait plus personne. Or si j’appelle et qu’il n’y a pas de ré
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é en série et rationaliser la chasse aux âmes. Il
faut
avouer que presque toutes nos inventions techniques, la plupart de no
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ce « trop affreux » eût été vraiment vrai, il eût
fallu
agir d’urgence et sans réserve ; et si nous nous étions mis à agir sa
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e pas le criminel, cela me condamne. Et puisqu’il
faut
combattre le crime, je ne dirai pas que je vais laisser courir le cri
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u péril. Si quelqu’un met le feu à une maison, il
faut
des pompiers, coupables ou non, pour éteindre l’incendie ; et des pol
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es font le même raisonnement en sens inverse. Qui
faut
-il croire ? Les véritables motifs, on ne les saura que beaucoup plus
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à établir les communications interplanétaires, il
faudra
réviser toutes nos conceptions philosophiques, sociales et morales. D
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tout cas de coexistence. Lénine dit aussi : « Il
faudra
changer nos conceptions philosophiques, sociales et morales. » Alors
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par l’homme, il n’y a plus de nature sauvage. Il
faut
bien que l’homme moderne en prenne conscience, car c’est probablement
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n’est donc pas dans une visée prométhéenne qu’il
faut
comprendre votre titre ? Pas du tout, ce n’est pas un défi. Simplemen
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ça leur fait peur — comme à tout le monde, il ne
faut
pas s’en cacher. Ils ne se sentent pas suffisamment impliqués pour di
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, après la guerre, l’évidence s’est imposée qu’il
fallait
faire l’Europe tout de suite, sinon on recommencerait une autre guerr
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ée. On a fait croire au monde entier que ce qu’il
fallait
copier de nous, c’étaient nos machines, nos armes, et jamais nos vale
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découvert l’Europe ! et la Suisse notamment ! Il
faut
s’éloigner de quelque chose pour savoir ce que c’est. En Amérique, il
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ays ! Si on veut sauver le fédéralisme suisse, il
faut
l’étendre aux dimensions du continent, quitte ensuite à fédérer ce co