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ns l’espace d’une vingtaine d’années, dominer les
fatalités
germaniques que six siècles de catholicisme lui léguaient parfaitemen
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ée sur l’espérance de l’Esprit et non pas sur les
fatalités
du passé, ouverte à la volonté d’un Dieu transcendant et non pas ferm
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e véritables résistants — ceux qui résistent à la
fatalité
— l’auront vue et marchent vers elle. Il se peut que la vision qui le
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: Ce n’est pas ma faute ! C’était l’autre, ou la
fatalité
… On en revient toujours à l’histoire du chapitre 3 de la Genèse. Vous