1 ulaient bien admettre en souriant un diable de ce genre , mais non pas croire en Dieu ; ce qui revient à ne pas croire au diab

2 mais il est lié intimement aux fonctions les plus humaines de l’homme, à ses pouvoirs de création dans tous les ordres, à ses ju

3 s la définition même de l’homme en tant qu’il est humain . Nous avons été optimistes par principe, et presque par savoir-vivre,

4 au cœur même de nos idéaux et de nos vérités trop humaines , dans les religions que nous confabulons en dehors de la foi révélée.

5 elles-mêmes les critères de toute vérité purement humaine , et décrétant qu’il n’est plus d’autre vérité. Or, aux yeux de ceux q

6 er — les Européens reprendront la tête du progrès humain . Ils ne retrouveront pas seulement leur vraie puissance, morale et ma

7 conte Wells, que le développement de la technique humaine pourrait un jour changer la situation mondiale : la conception marxis

8 me ramène à cette idée que la véritable aventure humaine est à l’intérieur de chacun de nous, non pas à l’extérieur, dans l’es

9 vue de la technique, les plus grands achèvements humains sont les plus simples, ceux qui demandent le moins d’argent et qui fi

10 ense qu’elle est vraiment le sommet de l’aventure humaine . Relisant au lendemain du retour des cosmonautes la transcription de

11 Jérusalem, d’une cité nouvelle qui sera vraiment humaine et en même temps vraiment divine (« à mesure d’homme, qui est mesure