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tous les partis sont, dans le fait, au service de
grandes
religions adversaires de la foi chrétienne : Prolétariat, Empire, Rac
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ependant que les protestants l’abandonnaient sans
grand
chagrin. Situation très paradoxale, si l’on songe qu’au xvie siècle,
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s les réformés de Suisse comme l’un de leurs plus
grands
précurseurs. Il m’a paru que la question méritait bien d’être reprise
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chaque jour des visites, donne des conseils d’une
grande
sagesse pratique et participe si bien à la vie de son peuple que le s
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y est même pas mentionné !) N’y a-t-il pas là une
grande
anomalie ? Car, enfin, l’élément le plus spectaculaire de la vie de N
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glise évangélique de langue française. Je vois de
grandes
perspectives d’avenir devant le protestantisme. J’en désignerai trois
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monde entier, nous voyons la réalisation d’un des
grands
idéaux calvinistes : la fédération organique des Églises, leur union
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r par la vertu du témoignage, il est clair que la
grande
ambition satanique devait être de s’emparer de la parole dans notre b
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ourne vers les masses. Ici nous abordons enfin la
grande
stratégie du diable dans ce siècle. La meilleure interprétation des p
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créer les masses. Nous tenons ici le secret de sa
grande
stratégie : produire le péché en série et rationaliser la chasse aux
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prendre une part sensible — en imagination — aux
grands
événements qui opposent les Nations, ces abstractions personnifiées ;
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et à la fuir ; d’autre part il est aspiré par les
grandes
émotions collectives. Cette répulsion et cette attraction jouent dans
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d’une certaine manière, nous l’aimions ! Voilà le
grand
secret. Le diable a réussi à faire croire aux démocrates qu’ils n’aim
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rxès, nous flagellons les eaux de l’Hellespont, à
grands
coups de discours sur les ondes courtes. Nous oublions ce fait fondam
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s le mal, nous sommes tous les complices des plus
grandes
responsables du monde. Cependant, évitons à tout prix un malentendu m
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inertie civique, dans notre lâcheté vis-à-vis du
grand
nombre, de ses modes et de ses slogans, dans notre ignorance du proch
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l’Europe auront-ils la vision nécessaire ? Les
grandes
visions Il y a peu de grandes visions dans notre temps. Le souci d
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cessaire ? Les grandes visions Il y a peu de
grandes
visions dans notre temps. Le souci des intérêts immédiats et surtout
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nous empêchent trop souvent de voir loin, de voir
grand
, d’imaginer vraiment la paix, la paix vivante et passionnante qui res
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ssible, et qui dépend de nous. Il y a très peu de
grandes
visions. J’en connais trois. Il y a celle du jeune Garry Davis. Elle
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t comme neige sous le soleil d’avril. Imaginez ce
grand
jardin de l’Europe où vous pourriez circuler librement, sans passepor
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ton à l’autre de la Suisse. Imaginez cette Europe
grande
ouverte, où les nations ne disparaîtraient pas davantage que les cant
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guerre entre nos cantons. Imaginez ensuite cette
grande
Europe aussi décidée que la Suisse à ne faire la guerre à personne, m
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se Paix, liberté, prospérité, tels ont été les
grands
motifs de toutes les confédérations qui ont vu le jour au cours des s
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qui s’écoule me paraît simple à établir dans ses
grandes
lignes et à l’échelle de la planète : l’une après l’autre, toutes les
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masse le régime « populaire » ! Et tandis que les
grands
Moralisants du Monde humiliaient ainsi leurs principes, l’Europe acco
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es États-Unis, une attraction irrésistible. Et le
Grand
Occident reconstitué serait garant de la paix mondiale. N’est-il pas
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Europe ait coïncidé par hasard avec l’année d’une
grande
étape œcuménique, la Nouvelle Delhi ? L’Église de Rome jouera sa part
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te à faire, il est vrai. Sachons du moins à quels
grands
buts lointains nous pouvons adresser nos vœux. w. Rougemont Denis
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Il nous dit que nous aurons là-bas des hôtels de
grand
luxe, avec des paysages extraordinaires. Alors on arrive à se demande
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rxiste elle-même n’aurait plus de sens. » Et à la
grande
stupéfaction de Wells, « Lénine, dit-il, me regarda et me répondit :
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ue même du point de vue de la technique, les plus
grands
achèvements humains sont les plus simples, ceux qui demandent le moin
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isson, à appliquer à l’Europe pour lui éviter les
grands
affrontements : c’était la tactique suisse, que l’on m’avait enseigné
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in centralisme dès qu’elle s’occupe d’objets trop
grands
. Le nucléaire en est un excellent exemple. Le nucléaire n’est absolum
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ons respectives, disons que le nucléaire est trop
grand
pour un seul pays, et qu’il y constitue une menace pour la démocratie