1 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
1 tous les partis sont, dans le fait, au service de grandes religions adversaires de la foi chrétienne : Prolétariat, Empire, Rac
2 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
2 ependant que les protestants l’abandonnaient sans grand chagrin. Situation très paradoxale, si l’on songe qu’au xvie siècle,
3 s les réformés de Suisse comme l’un de leurs plus grands précurseurs. Il m’a paru que la question méritait bien d’être reprise
4 chaque jour des visites, donne des conseils d’une grande sagesse pratique et participe si bien à la vie de son peuple que le s
5 y est même pas mentionné !) N’y a-t-il pas là une grande anomalie ? Car, enfin, l’élément le plus spectaculaire de la vie de N
3 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
6 glise évangélique de langue française. Je vois de grandes perspectives d’avenir devant le protestantisme. J’en désignerai trois
7 monde entier, nous voyons la réalisation d’un des grands idéaux calvinistes : la fédération organique des Églises, leur union
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
8 r par la vertu du témoignage, il est clair que la grande ambition satanique devait être de s’emparer de la parole dans notre b
5 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
9 ourne vers les masses. Ici nous abordons enfin la grande stratégie du diable dans ce siècle. La meilleure interprétation des p
10 créer les masses. Nous tenons ici le secret de sa grande stratégie : produire le péché en série et rationaliser la chasse aux
11 prendre une part sensible — en imagination — aux grands événements qui opposent les Nations, ces abstractions personnifiées ;
12 et à la fuir ; d’autre part il est aspiré par les grandes émotions collectives. Cette répulsion et cette attraction jouent dans
6 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
13 d’une certaine manière, nous l’aimions ! Voilà le grand secret. Le diable a réussi à faire croire aux démocrates qu’ils n’aim
7 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
14 rxès, nous flagellons les eaux de l’Hellespont, à grands coups de discours sur les ondes courtes. Nous oublions ce fait fondam
15 s le mal, nous sommes tous les complices des plus grandes responsables du monde. Cependant, évitons à tout prix un malentendu m
16 inertie civique, dans notre lâcheté vis-à-vis du grand nombre, de ses modes et de ses slogans, dans notre ignorance du proch
8 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
17 l’Europe auront-ils la vision nécessaire ? Les grandes visions Il y a peu de grandes visions dans notre temps. Le souci d
18 cessaire ? Les grandes visions Il y a peu de grandes visions dans notre temps. Le souci des intérêts immédiats et surtout
19 nous empêchent trop souvent de voir loin, de voir grand , d’imaginer vraiment la paix, la paix vivante et passionnante qui res
20 ssible, et qui dépend de nous. Il y a très peu de grandes visions. J’en connais trois. Il y a celle du jeune Garry Davis. Elle
21 t comme neige sous le soleil d’avril. Imaginez ce grand jardin de l’Europe où vous pourriez circuler librement, sans passepor
22 ton à l’autre de la Suisse. Imaginez cette Europe grande ouverte, où les nations ne disparaîtraient pas davantage que les cant
23 guerre entre nos cantons. Imaginez ensuite cette grande Europe aussi décidée que la Suisse à ne faire la guerre à personne, m
24 se Paix, liberté, prospérité, tels ont été les grands motifs de toutes les confédérations qui ont vu le jour au cours des s
9 1961, La Vie protestante, articles (1938–1978). Bilan simple (29 décembre 1961)
25 qui s’écoule me paraît simple à établir dans ses grandes lignes et à l’échelle de la planète : l’une après l’autre, toutes les
26 masse le régime « populaire » ! Et tandis que les grands Moralisants du Monde humiliaient ainsi leurs principes, l’Europe acco
27 es États-Unis, une attraction irrésistible. Et le Grand Occident reconstitué serait garant de la paix mondiale. N’est-il pas
28 Europe ait coïncidé par hasard avec l’année d’une grande étape œcuménique, la Nouvelle Delhi ? L’Église de Rome jouera sa part
29 te à faire, il est vrai. Sachons du moins à quels grands buts lointains nous pouvons adresser nos vœux. w. Rougemont Denis
10 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
30 Il nous dit que nous aurons là-bas des hôtels de grand luxe, avec des paysages extraordinaires. Alors on arrive à se demande
31 rxiste elle-même n’aurait plus de sens. » Et à la grande stupéfaction de Wells, « Lénine, dit-il, me regarda et me répondit :
32 ue même du point de vue de la technique, les plus grands achèvements humains sont les plus simples, ceux qui demandent le moin
11 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
33 isson, à appliquer à l’Europe pour lui éviter les grands affrontements : c’était la tactique suisse, que l’on m’avait enseigné
34 in centralisme dès qu’elle s’occupe d’objets trop grands . Le nucléaire en est un excellent exemple. Le nucléaire n’est absolum
35 ons respectives, disons que le nucléaire est trop grand pour un seul pays, et qu’il y constitue une menace pour la démocratie