1
à 5) Voyez : avant la tentation proprement dite,
il y a
le doute ! Le premier procédé du démon, c’est de jeter un doute sur l
2
donnance de Dieu. À l’origine de toute tentation,
il y a
l’occasion entrevue d’aller à la divinité par un plus court chemin qu
3
r qu’il n’y ait plus de responsable, il suffit qu’
il y ait
une masse. Satan va donc créer les masses. Nous tenons ici le secret
4
nt le réel. Car dans le réel, nous savons bien qu’
il y a
du mal, qu’il y a l’action du diable. Mais cela nous scandalise et no
5
ns le réel, nous savons bien qu’il y a du mal, qu’
il y a
l’action du diable. Mais cela nous scandalise et nous effraye. Alors
6
émocratique : Tous les hommes se valent ! Certes,
il y a
des degrés dans le mal, il y a des inégalités dans la responsabilité.
7
e valent ! Certes, il y a des degrés dans le mal,
il y a
des inégalités dans la responsabilité. Mais nous sommes tous dans le
8
s Dix ambassadeurs, à Londres1, prenne son temps.
Il y a
deux semaines, elle faisait bon accueil aux propositions détaillées q
9
s la vision nécessaire ? Les grandes visions
Il y a
peu de grandes visions dans notre temps. Le souci des intérêts immédi
10
qui reste encore possible, et qui dépend de nous.
Il y a
très peu de grandes visions. J’en connais trois. Il y a celle du jeun
11
très peu de grandes visions. J’en connais trois.
Il y a
celle du jeune Garry Davis. Elle est très vaste, mais aussi très vagu
12
’est pas notre faute, ni la faute de Garry Davis…
Il y a
enfin une troisième vision, celle de l’Europe fédérée. Elle est moins
13
sse a su atteindre ces trois buts, en se fédérant
il y a
cent ans. Si l’on a bien vu cet enjeu, la possibilité de le gagner, e
14
sont puérils : le président Kennedy avait annoncé
il y a
huit ou neuf ans : « Nous serons sur la Lune avant 1970. » Cela voula
15
est un motif puéril, je le répète, une gaminerie.
Il y a
d’autres motivations, tout de même. Une motivation de curiosité, natu
16
a Lune, dans le cas qui nous occupe ? Je pense qu’
il y a
là une espèce de fuite devant les problèmes du monde, un phénomène ps
17
sont les savants qui les font aller là-bas. Alors
il y a
un petit jeu subtil entre les militaires et les savants, dans cette a
18
ne. Eh bien ! on s’aperçoit qu’il n’y a personne.
Il y a
un texte qui m’a frappé, que vous avez cité dans un article il y a se
19
ui m’a frappé, que vous avez cité dans un article
il y a
sept ou huit ans — à l’époque où on envoyait le premier obus sur la L
20
ue je disais un mois avant le départ d’Apollo 11.
Il y avait
là comme un écho anticipé de ce que tant d’autres ont dit depuis, par
21
lénitude, qui est une divinisation de l’homme. S’
il y a
dans votre livre des passages très pessimistes où vous semblez provoq
22
e la nuit ? — Le matin vient, et la nuit aussi ».
Il y a
donc toujours deux possibilités. Qu’avez-vous à dire à une jeunesse a
23
de la vie du pays : le nucléaire ? Le nucléaire !
Il y a
pour la Suisse, dès 1848, un danger certain : voilà un État fédéral,