1 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
1 me de la notion chrétienne de personne, à la fois libre et engagée. Par l’organisation même de ses Églises et de ses paroisse
2 es paroisses, elle offre le type d’une communauté libre et pourtant bien liée, fondée sur l’espérance de l’Esprit et non pas
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
3 mensonge ou l’opérer. Par le langage l’homme est libre . Par le langage il peut mentir. Par sa liberté seule il peut pécher.
4 agit en nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de manger cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam aprè
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
5 chaste. L’usage du sexe est donc en grande partie libre et conscient. D’autre part, il est lié à la créativité de l’homme, il
6 mme peut pécher, c’est uniquement parce qu’il est libre , c’est-à-dire parce qu’il peut choisir de créer selon l’ordre divin,
7 es. C’est donc en tant qu’elle participe de notre libre créativité, comme le langage et les activités de l’esprit, que la sex
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
8 e du démon. Et donc enfin de lui laisser le champ libre pour nous duper. Nous avons cru que le mal était relatif dans le mond
5 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
9 nautés fédérées entre elles. Là, chacun peut être libre à sa manière, s’épanouir dans sa vocation, devenir une personne. Dans