1 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
1 e voit aussitôt suspecté de connivence avec les «  méchants  ». Il fait leur jeu, dit-on, même s’il se croit sincère. C’est un naï
2 calviniste, et quand on me dit : Ceux-ci sont des méchants , je veux bien le croire, mais je demande : Parmi ceux-là qui les atta
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
3 min que le sentier de Golgotha. À l’origine, le «  méchant  » n’est pas celui qui agit par méchanceté (à ses propres yeux tout au
4 n qu’il a conçu vaut mieux que le vrai bien. « Le méchant fait une œuvre qui le trompe. » Or, c’est parce qu’il se trompe d’abo
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
5 le mal comme fondamental doit être lui-même très méchant . Nous croyons qu’en avouant le mal, nous le créons d’une certaine man
6 ient nullement, qu’ils étaient bons et les autres méchants , et que c’était tellement simple… Comme je voudrais que cela soit aus
7 du mal en général. La condamnation trop facile du méchant qui est en face peut recouvrir et favoriser beaucoup de complaisance
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable X : Le diable homme du monde (17 décembre 1943)
8 espagnol, n’est pas à craindre parce qu’il est si méchant , mais parce qu’il est si vieux. C’est ce que l’on peut penser aussi d