1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 dit à la fin de sa chronique : « Qu’il n’ait rien mangé , je ne puis le croire : les Suisses eux-mêmes ne l’affirment et ne le
2 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). Neutralité (3 mai 1940)
2  ? Que ceux qui sont froids ou bouillants seront mangés  ! Je demande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de ne
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
3 nous et nous lie. Si Ève n’avait pas été libre de manger cette pomme interdite, Ève n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ai
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
4 ornée du péché ! Car même dans le cas où le fruit mangé par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n’est pas le ges
5 ue l’on croit, notez que ce n’est pas le geste de manger une pomme qui était mauvais aux yeux de l’Éternel, ni la pomme en soi
6 certain manque de nécessité. Il est nécessaire de manger et de respirer, et il est nécessaire que le sang circule, mais on peu
5 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
7 à la femme : Dieu a-t-il réellement dit : vous ne mangerez pas de tous les arbres du jardin ? La femme répondit au serpent : nou
8 s du jardin ? La femme répondit au serpent : nous mangeons du fruit des arbres du jardin. Mais quant au fruit de l’arbre qui est
9 i est au milieu du jardin, Dieu a dit : vous n’en mangerez point et vous n’y toucherez point, de peur que vous n’en mouriez. Alo
10 rrez point. Mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez , vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant
11 lque moyen de le faire. Ève ne pensait même pas à manger cette pomme avant que le serpent n’ait mis en doute la réalité de l’o
12 ntation : « La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intellige
13 rir l’intelligence : elle prit de son fruit et en mangea . » (Gen. 3:6) Voyez : ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’es
14 it pas cette idée-là et l’excluait de sa réalité. Manger cette pomme et se diviniser de cette manière convoiteuse, il se trouv
6 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
15  : Qui t’a appris que tu es nu ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger ? L’homme répondit : La
16 tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger  ? L’homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m’a donné
17 se auprès de moi m’a donné de l’arbre, et j’en ai mangé . Et l’Éternel Dieu dit à la femme : Pourquoi as-tu fait cela ? La fem
18 mme répondit : Le serpent m’a séduite, et j’en ai mangé . » (Gen. 3:8-13) Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et qu