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les communistes sont des sans-Dieu, je ne dis pas
non
, je ne suis pas illettré ; mais je me demande si le trust des pétrole
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uges d’Espagne brûlent les églises, je ne dis pas
non
: ils s’en vantent eux-mêmes. Mais je me demande si les soutiens de M
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nt les ennemis du christianisme ! — je ne dis pas
non
, je les ai vus de près. Mais je me demande si le maintien de l’empire
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ogez ! Convertissez-vous et revenez ! » Évasion ?
Non
pas. Réalisme. La force réelle des tyrans est religieuse. Et la foi s
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ent, Nicolas se retire dans une cabane construite
non
loin de sa ferme, au Ranft. Il y mènera jusqu’à sa mort la vie d’un p
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ènera jusqu’à sa mort la vie d’un pieux laïque et
non
d’un moine, parfois même suspecté par l’Église qui se méfie de cet «
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Signe du désarroi intime où la piété de l’Église
non
réformée laissait les âmes, les plus exigeantes, privées de tout cont
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lheurs dus à la Réforme. Pour des fins partisanes
non
dissimulées, les politiciens des cinq cantons catholiques cherchent l
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ornait à dire : « Dieu le sait… » Rien d’étonnant
non
plus si, en 1522, un pamphlet catholique anonyme se plaint de ce que
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t pas un « sujet protestant » ? Eh quoi ! Abraham
non
plus n’était pas calviniste. Ce qui caractérise un drame protestant,
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x où cette erreur est professée y voient une arme
non
pas contre l’Allemagne, mais d’abord contre la Réforme : l’assimilati
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s réponses. Mais il faut répondre d’abord. Oui ou
non
, Niemöller est-il bon luthérien ? Oui ou non, le Führer est-il né cat
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i ou non, Niemöller est-il bon luthérien ? Oui ou
non
, le Führer est-il né catholique ? Oui ou non, le second a-t-il fait e
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i ou non, le Führer est-il né catholique ? Oui ou
non
, le second a-t-il fait emprisonner le premier ? Oui ou non, l’Allemag
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econd a-t-il fait emprisonner le premier ? Oui ou
non
, l’Allemagne préhitlérienne fut-elle gouvernée par Brüning, chef du p
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ning, chef du parti du centre catholique ? Oui ou
non
, l’intronisation d’Hitler est-elle le fait de von Papen, catholique ?
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st-elle le fait de von Papen, catholique ? Oui ou
non
, l’Allemagne comptait-elle, depuis des siècles, 38 % de catholiques (
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38 % de catholiques (aujourd’hui, 50 %) ? Oui ou
non
, le « germanisme éternel » existait-il avant Luther ? Oui ou non, l’a
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nisme éternel » existait-il avant Luther ? Oui ou
non
, l’axe Berlin-Rome passe-t-il par Rome, et non point par Genève ? Et
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ou non, l’axe Berlin-Rome passe-t-il par Rome, et
non
point par Genève ? Et si l’on persiste à prétendre que le luthéranism
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t être communes à tous les citoyens, chrétiens ou
non
. La mission spéciale du citoyen chrétien, ce sera de dégager de ces d
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bien liée, fondée sur l’espérance de l’Esprit et
non
pas sur les fatalités du passé, ouverte à la volonté d’un Dieu transc
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é, ouverte à la volonté d’un Dieu transcendant et
non
pas fermée sur les intérêts d’un groupe. Par là, elle s’oppose radica
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admettre en souriant un diable de ce genre, mais
non
pas croire en Dieu ; ce qui revient à ne pas croire au diable. Cette
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troubles sexuels, serait simplement la franchise,
non
pas « scientifique » mais gaillarde. Mais aussitôt le Malin se rattra
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er devant Dieu de la manière la plus impitoyable.
Non
par amour de la justice, mais par amour de notre châtiment, par haine
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rte ces deux mains sur Marius, ce sont ses mains,
non
celles du voisin, et non celles de la foule qui n’a pas de mains » (K
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rius, ce sont ses mains, non celles du voisin, et
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celles de la foule qui n’a pas de mains » (Kierkegaard). Reconnaisson
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ce n’est point par hasard qu’il a fait ceux-là et
non
d’autres. Les véritables causes et racines du phénomène moderne des m
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, hypocrite et cynique à la fois, repoussant mais
non
moins fascinant, il est sans doute la créature la plus poétique du mo
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automatique n’était qu’un déguisement du diable.
Non
pas qu’aucun progrès réel soit diabolique en soi ! Mais si l’on s’aba
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à une maison, il faut des pompiers, coupables ou
non
, pour éteindre l’incendie ; et des policiers, coupables ou non, pour
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indre l’incendie ; et des policiers, coupables ou
non
, pour arrêter l’incendiaire. Or l’histoire nous a mis, bon gré mal gr
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ait perdre la face, en bâtissant le mur de Berlin
non
pour se protéger contre une attaque, mais pour empêcher tout un peupl
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’ils ont réussi à trouver les moyens d’une espèce
non
pas de coopération — c’est encore trop tôt — mais de coexistence. C’é
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tement, et on ne va pas en créer un, j’espère que
non
… Où Lénine se trompe à mon sens complètement, c’est quand il dit que
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ture humaine est à l’intérieur de chacun de nous,
non
pas à l’extérieur, dans l’espace, le cosmos physique. Je crois que mê
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une génération — qui ne disait pas « bof », oh !
non
— qui voyait très bien qu’elle allait devoir faire la guerre, une gue
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tant Genève, qui s’est réuni pour mettre en garde
non
contre le nucléaire en général, mais contre le surgénérateur de Creys
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cées par Jésus sont dirigées contre la puissance.
Non
pas contre la sexualité, comme on voulait nous le faire croire au xix