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’abord d’un sursaut de la conscience chrétienne ?
Où
peut aller cette « croisade » qui réjouit tant M. Staline… Alors on m
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t rester : vigilance. Dans cette nuit universelle
où
la Colère de Dieu sévit par les mains de quelques tyrans, on demande
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e, du point de vue d’un réformé du xxe siècle. D’
où
la première étude d’ensemble que viennent de publier Les Cahiers prot
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normales de l’existence. Signe du désarroi intime
où
la piété de l’Église non réformée laissait les âmes, les plus exigean
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blier ma prose. Il est bien clair que les milieux
où
cette erreur est professée y voient une arme non pas contre l’Allemag
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er cette affligeante contradiction. D’autre part,
où
prend-on que Luther ait formé l’Allemagne moderne ? Comment sa doctri
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e délicat : Comment expliquer que les quatre pays
où
le luthéranisme a triomphé sans résistance, et bien plus totalement q
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e aussi leur Église. Mais il existe d’autres pays
où
la foi d’un soldat chrétien pourrait avoir des effets exactement cont
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agir dans le monde et pour le monde, dans la cité
où
il est né et pour son bien. Il n’a pas le droit de s’en désintéresser
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tre avantageuse dans certains cas, dans la mesure
où
elle nous exclut, précisément, d’un conflit que nous jugeons mauvais.
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orme qui nous fait nous réjouir d’une perspective
où
nos « ismes » disparaîtraient pour se fondre dans une Église plus vas
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existence du diable à chaque page, de la première
où
il apparaît sous la forme du serpent, jusqu’à l’avant-dernière où nou
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ous la forme du serpent, jusqu’à l’avant-dernière
où
nous voyons Satan lié pour mille ans, puis délié et déchaîné sur les
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st pas et mentir par ses actes. Le minéral repose
où
il fut composé, la plante pousse où se fixa la graine, les animaux mu
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inéral repose où il fut composé, la plante pousse
où
se fixa la graine, les animaux muets sont prisonniers de l’ordre inta
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, l’œuvre propre du diable. À partir de l’instant
où
vous faussez la mesure même de la vérité, toutes vos « vertus » sont
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beau. Il n’y a plus de fautes de goût possible là
où
n’existe plus de goût comme il n’y a plus de crime possible la où n’e
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de goût comme il n’y a plus de crime possible la
où
n’existe plus de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la raison dernièr
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e vue bien bornée du péché ! Car même dans le cas
où
le fruit mangé par Ève signifierait ce que l’on croit, notez que ce n
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s pseudo-mystiques, nœuds de sophismes spirituels
où
le serpent se love avec délices. La sexualité se distingue des autres
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le en vigueur dans son milieu, et de son temps. D’
où
l’on devrait déduire que le meilleur moyen de prévenir les états de p
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issement, l’on serait tenté de regretter le temps
où
Satan proposait des combats plus féconds… k. Rougemont Denis de, «
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le stérile plaisir d’avoir raison. Aussi, partout
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l’on condamne sans pitié son prochain ou soi-même, soyez sûrs que c’e
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vous ne mourrez point. Mais Dieu sait que le jour
où
vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des d
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ion s’entrouvre. Car il n’y a pas de tentation là
où
n’existe aucune possibilité d’imaginer quelque autre chose que l’état
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en moins de persuader l’individu, dans une époque
où
celui-ci n’existe guère. Son ambition se tourne vers les masses. Ici
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. Mais l’Éternel Dieu appela l’homme et lui dit :
Où
es-tu ? Il répondit : J’ai entendu ta voix dans le jardin, et j’ai eu
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a foule. C’est-à-dire dans le lieu par excellence
où
l’on peut toujours dire : c’était l’autre ! Et dans le lieu où l’on e
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toujours dire : c’était l’autre ! Et dans le lieu
où
l’on est, à coup sûr, le plus « loin de la face de l’Éternel ». Pour
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out cela contribue à l’arracher de sa vie propre,
où
il ne se passerait jamais rien de semblable. Quant aux inconvénients
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sabusés et des raffinés. En bref, il n’est jamais
où
vous pensiez le trouver. Il imite, en la caricaturant, l’action même
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enez sérieusement à l’attraper, je vais vous dire
où
vous le trouverez le plus sûrement : dans le fauteuil où vous êtes as
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le trouverez le plus sûrement : dans le fauteuil
où
vous êtes assis. o. Rougemont Denis de, « Les tours du diable VII
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ceci : nous sommes tous coupables dans la mesure
où
nous ne reconnaissons pas et ne condamnons pas en nous aussi la menta
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n’existe qu’en elles et par elles. Dans la mesure
où
nous leur obéissons, nous ne sommes donc plus responsables de nos act
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ps européen, la vision d’un printemps de l’Europe
où
les frontières et les barrières entre nos peuples fondraient comme ne
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eil d’avril. Imaginez ce grand jardin de l’Europe
où
vous pourriez circuler librement, sans passeports ni visas, sans rest
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la Suisse. Imaginez cette Europe grande ouverte,
où
les nations ne disparaîtraient pas davantage que les cantons n’ont di
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ue les cantons n’ont disparu en se fédérant, mais
où
les guerres entre nations deviendraient aussi impossibles que la guer
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un redressement spectaculaire. Aux États-Unis, d’
où
je reviens, il n’est question que du « miracle européen ». C’est un f
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té sans précédent s’est opérée dans le temps même
où
l’Europe achevait de libérer ses colonies — dont on prétendait qu’ell
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s un article il y a sept ou huit ans — à l’époque
où
on envoyait le premier obus sur la Lune : c’est un texte de Werner vo
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qu’elle ne vaut plus rien si on va sur la Lune —
où
les rapports de productions ne sont en rien comparables à ce qu’ils é
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t, et on ne va pas en créer un, j’espère que non…
Où
Lénine se trompe à mon sens complètement, c’est quand il dit que tout
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monde ne peut répondre pour un autre — ou sinon,
où
serait l’aventure ? x. Rougemont Denis de, « [Entretien] La lune,
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’humanité et de leur développement. Dans le monde
où
nous existons, même la nature est faite par l’homme, il n’y a plus de
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a dans votre livre des passages très pessimistes
où
vous semblez provoquer la peur du lecteur, le fond de tout est pourta
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es que j’ai rencontrés à Paris, la première année
où
je suis allé y travailler comme éditeur. Nous avons créé ensemble les
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chrétiens doivent vouloir et préparer une société
où
chacun puisse être le prochain de l’autre, donc une société formée de