1 1550. Ce premier drame sur Nicolas de Flue est l’ œuvre d’un protestant, l’Alsacien Valentin Boltz. Il ne comptait pas moins

2 ins transcendantes, telle que j’ai pu la voir à l’ œuvre et telle que je l’ai décrite en plus d’un livre ? Certes, on pourra t

3 se tient, par malheur, à l’écart. Or, dans cette œuvre à laquelle collaborent la majorité des chrétiens du monde entier, nou

4 ction de votre vertu. C’est là le mensonge pur, l’ œuvre propre du diable. À partir de l’instant où vous faussez la mesure mêm

5 s » sont au service du mal et sont complices de l’ œuvre du Malin. « Le diable est menteur et le Père du mensonge », dit l’Éva

6 celui qui l’engendre, le conçoit par ses propres œuvres , en abusant d’une vérité qu’il rejette aussitôt qu’avilie et qui mour

7 Le diable est le père du faux art, de toutes ces œuvres qui ne sont « ni bien ni mal », parce que l’acte dont elles naquirent

8 aut mieux que le vrai bien. « Le méchant fait une œuvre qui le trompe. » Or, c’est parce qu’il se trompe d’abord que son œuvr

9 » Or, c’est parce qu’il se trompe d’abord que son œuvre va le tromper. La réalité méprisée se vengera automatiquement. Le péc

10 du nationalisme. Lui seul avait vu le diable à l’ œuvre dans ces œuvres — les nôtres à nous, nations démocratiques. Kierkegaa

11 e. Lui seul avait vu le diable à l’œuvre dans ces œuvres — les nôtres à nous, nations démocratiques. Kierkegaard a compris mie

12 aies et de fausses nouvelles. Voilà le diable à l’ œuvre dans nos vies ! Il est l’essence même de la Cinquième Colonne au sièc

13 rtance qu’à un détail fortuit dans un être ou une œuvre  ; tous ces traits qui pourraient dénoter l’exigence d’un artiste véri

14 qui est l’œcuménisme, attendent notre foi et nos œuvres . Beau programme pour l’année qui vient et pour la suite ! Presque tou