1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 s juge de paix, puis simple agriculteur, marié et père de dix enfants, lorsqu’il crut devoir obéir à l’appel de la solitude.
2 capital. Car, après tout, si Nicolas est l’un des Pères de notre Confédération, c’est à son action qu’il le doit. S’il n’avai
3 enté. » En 1556, Matthias Flacius l’Illyrique, le père de l’histoire de l’Église chez les protestants, fait l’éloge de Nicol
2 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
4 dans leurs discours, à invoquer « le Dieu de nos pères  », il semble parfois que ce soit moins parce qu’ils croient le christ
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
5 e l’œuvre du Malin. « Le diable est menteur et le Père du mensonge », dit l’Évangile tel qu’on le cite d’ordinaire. Ceci con
6  Le diable est menteur, nous dit-il, et il est le père de son propre mensonge. » Par ici nous entrons au mystère du mal. Le
7 nge. » Par ici nous entrons au mystère du mal. Le père de son mensonge est celui qui l’engendre, le conçoit par ses propres
8 tarde et de l’art inauthentique. Le diable est le père du faux art, de toutes ces œuvres qui ne sont « ni bien ni mal », par
4 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
9 ’est un texte de Werner von Braun, qui est un des pères du voyage dans la Lune, et qui nous décrit le paradis qui nous attend
10 s, le célèbre romancier anglais, qui est l’un des pères de l’anticipation, était allé l’interviewer. « Je dis à Lénine, racon