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de l’apôtre. Elle n’admet pas la conversion et le
pardon
, à partir desquels « il n’y a plus ni juif ni grec ». Elle ne demande
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oute sa nature la foi chrétienne, tournée vers le
pardon
, le futur éternel, le rachat du péché d’origine ?… Mais résister ne s
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douter du bien et du réel, et c’est de douter du
pardon
, une fois qu’on a trahi le bien et le réel. Car douter du pardon nous
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s qu’on a trahi le bien et le réel. Car douter du
pardon
nous replonge dans le mal, avec la sombre jouissance masochiste des «
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» et des « tant pis pour moi ». Il faut croire au
pardon
pour oser confesser le mal qu’on a commis ; pour oser qualifier de fa
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a seule le courage de rebâtir. Celui qui doute du
pardon
ne peut pas confesser son crime, et celui qui ne le confesse pas n’en
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et Accusateur qui veut nous faire douter de notre
pardon
pour nous forcer à fuir dans les remèdes du pire. L’Apocalypse le dés
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st le diable qui parle, l’Accusateur qui tient le
pardon
pour une simple faute de logique, la grâce pour une erreur de calcul
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e ou du dieu Race. Les dieux des hommes sont sans
pardon
. Ce sont des diables. Toutefois le diable est sans doute moins danger