1 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
1 de l’apôtre. Elle n’admet pas la conversion et le pardon , à partir desquels « il n’y a plus ni juif ni grec ». Elle ne demande
2 oute sa nature la foi chrétienne, tournée vers le pardon , le futur éternel, le rachat du péché d’origine ?… Mais résister ne s
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
3 douter du bien et du réel, et c’est de douter du pardon , une fois qu’on a trahi le bien et le réel. Car douter du pardon nous
4 s qu’on a trahi le bien et le réel. Car douter du pardon nous replonge dans le mal, avec la sombre jouissance masochiste des «
5 » et des « tant pis pour moi ». Il faut croire au pardon pour oser confesser le mal qu’on a commis ; pour oser qualifier de fa
6 a seule le courage de rebâtir. Celui qui doute du pardon ne peut pas confesser son crime, et celui qui ne le confesse pas n’en
7 et Accusateur qui veut nous faire douter de notre pardon pour nous forcer à fuir dans les remèdes du pire. L’Apocalypse le dés
8 st le diable qui parle, l’Accusateur qui tient le pardon pour une simple faute de logique, la grâce pour une erreur de calcul
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
9 e ou du dieu Race. Les dieux des hommes sont sans pardon . Ce sont des diables. Toutefois le diable est sans doute moins danger