1 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). De Luther à Hitler (15 mars 1940)
1 prochaine, équitable pour tous, et englobant les pays germaniques. Or l’erreur qui consiste à placer Luther au début d’une
2 oblème délicat : Comment expliquer que les quatre pays où le luthéranisme a triomphé sans résistance, et bien plus totalemen
2 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
3 fendre aussi leur Église. Mais il existe d’autres pays où la foi d’un soldat chrétien pourrait avoir des effets exactement c
4 sérer dans les données de fait qui sont celles du pays , et qui se trouvent être communes à tous les citoyens, chrétiens ou n
5 es Suisses et que la Suisse est officiellement un pays chrétien. Mais nous devons être de bons Suisses parce que nous sommes
3 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
6 le chose, l’avenir de ces enfants et celui de nos pays , tout dépend d’une seule chose, qui est celle-ci : les hommes d’État
7 s, la Terre promise !2 1. On sait que les dix pays fondateurs de l’union européenne préparent une Assemblée consultative
4 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
8 nt se révéler dans certains secteurs de la vie du pays  : le nucléaire ? Le nucléaire ! Il y a pour la Suisse, dès 1848, un d
9 n. Or, le fédéralisme est impossible dans un seul pays  ! Si on veut sauver le fédéralisme suisse, il faut l’étendre aux dime
10 e moyen d’assurer l’indépendance énergétique d’un pays , à preuve qu’en France le nucléaire est appliqué d’après une licence
11 aire grâce à six banques qui appartiennent à cinq pays (et je simplifie encore). Si le fédéralisme consiste à confier aux di
12 sons que le nucléaire est trop grand pour un seul pays , et qu’il y constitue une menace pour la démocratie. Vous êtes membre