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es fanatiques (25 novembre 1938)a b Ce ne sont
plus
des signes dans le ciel, mais des réalités terrestres et brutales qui
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s sommes en règle avec notre conscience. Il n’y a
plus
à discuter. Le temps des nuances est passé. L’état de siège est procl
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, le jeune auteur romand dont la réputation n’est
plus
à faire. Nous lui laissons volontiers la parole, convaincus que nos l
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r tous les réformés de Suisse comme l’un de leurs
plus
grands précurseurs. Il m’a paru que la question méritait bien d’être
5
é de l’Église non réformée laissait les âmes, les
plus
exigeantes, privées de tout contact direct avec la Bible. 2° Dans son
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. S’il n’avait été qu’un ascète, nous ne saurions
plus
rien de lui. C’est pourquoi les réformateurs insistèrent à bon droit
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it à dire : « Dieu le sait… » Rien d’étonnant non
plus
si, en 1522, un pamphlet catholique anonyme se plaint de ce que les r
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urs ». Enfin, s’il était besoin d’une attestation
plus
décisive encore, voici celle de Luther en personne. Il écrit dans une
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lité, d’intentions nettement polémiques. Beaucoup
plus
vaste est la portée d’un mystère intitulé Le Miroir du Monde, qui fut
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nspiration catholique deviendront de beaucoup les
plus
nombreuses. (La première en date, celle du jésuite Jacob Gretser, fut
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là une grande anomalie ? Car, enfin, l’élément le
plus
spectaculaire de la vie de Nicolas réside dans son intervention polit
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i tenté de réintégrer Nicolas dans l’actualité la
plus
brûlante de notre siècle : il n’était que de mettre en relief les tra
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qu’on lui avait enseignés. Je l’ai fait parler le
plus
possible en style biblique, conscient de me ranger ainsi dans la vrai
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s un « sujet protestant » ? Eh quoi ! Abraham non
plus
n’était pas calviniste. Ce qui caractérise un drame protestant, c’est
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e Luther à Hitler (15 mars 1940)d Nous n’avons
plus
le droit de nous tromper dans nos jugements sur les choses allemandes
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antôt d’une ignorance inqualifiable des faits les
plus
notoires et les plus importants de notre histoire occidentale. J’esti
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inqualifiable des faits les plus notoires et les
plus
importants de notre histoire occidentale. J’estime qu’elle a suffisam
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la voir à l’œuvre et telle que je l’ai décrite en
plus
d’un livre ? Certes, on pourra toujours faire jouer la balançoire dia
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Reynold, M. Massis, M. Maurras. J’y vois tout au
plus
un moyen d’esquiver des questions plus directes. Ces questions, je le
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is tout au plus un moyen d’esquiver des questions
plus
directes. Ces questions, je les repose ici. On pourra différer d’avis
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luthéranisme a triomphé sans résistance, et bien
plus
totalement qu’en Allemagne, soient aujourd’hui les parangons de la li
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que ? Je veux parler des États scandinaves, et du
plus
purement luthérien d’entre eux, la Finlande. Si l’on me fait l’honneu
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ux exemples contradictoires posent la question la
plus
brûlante de l’époque : celle de l’attitude du chrétien en face de ses
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n prophétique d’un homme dont la pensée me paraît
plus
actuelle que jamais, Alexandre Vinet : « Veuillez d’abord, écrivait-i
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ersion et le pardon, à partir desquels « il n’y a
plus
ni juif ni grec ». Elle ne demande pas « Que crois-tu ? Qu’espères-tu
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» disparaîtraient pour se fondre dans une Église
plus
vaste. S’il fallait que je dise en une phrase ce qui m’attache à l’Ég
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ose de Baudelaire que l’on peut lire la phrase la
plus
profonde écrite par un moderne sur Satan : « La plus belle ruse du di
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s profonde écrite par un moderne sur Satan : « La
plus
belle ruse du diable est de nous persuader qu’il n’existe pas. » Reco
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notre orgueil et s’insérer dans nos défenses les
plus
secrètes. La parole nous étant donnée pour répondre à la vérité, et p
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est le critère du vrai qui est dénaturé, il n’y a
plus
de contrôle possible. Et peu à peu vous oublierez que vous trichez. P
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is le texte original de ce passage est infiniment
plus
étrange. « Le diable est menteur, nous dit-il, et il est le père de s
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rent supprime les mesures mêmes du beau. Il n’y a
plus
de fautes de goût possible là où n’existe plus de goût comme il n’y a
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a plus de fautes de goût possible là où n’existe
plus
de goût comme il n’y a plus de crime possible la où n’existe plus de
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ssible là où n’existe plus de goût comme il n’y a
plus
de crime possible la où n’existe plus de Loi. Peut-être ici découvron
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me il n’y a plus de crime possible la où n’existe
plus
de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la raison dernière du mensonge
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alité est le domaine des tentations à la fois les
plus
sensibles et les plus communes. Assez peu d’hommes sont réellement te
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es tentations à la fois les plus sensibles et les
plus
communes. Assez peu d’hommes sont réellement tentés de voler le porte
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nsemble. En vérité, la sexualité en soi n’est pas
plus
diabolique que la digestion ou la respiration. Si la majorité des Occ
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intrigue pas davantage que dans nos créations les
plus
abstraites. Il est même plus aisément reconnaissable, et dans cette m
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ns nos créations les plus abstraites. Il est même
plus
aisément reconnaissable, et dans cette mesure moins dangereux. La sex
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rètement l’humanité de l’homme. Le sexe n’est pas
plus
divin qu’il n’est honteux, mais il est lié intimement aux fonctions l
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eux, mais il est lié intimement aux fonctions les
plus
humaines de l’homme, à ses pouvoirs de création dans tous les ordres,
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regretter le temps où Satan proposait des combats
plus
féconds… k. Rougemont Denis de, « Les tours du diable III : diable
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mier à nous dénoncer devant Dieu de la manière la
plus
impitoyable. Non par amour de la justice, mais par amour de notre châ
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eur (12 novembre 1943)m « Le serpent était le
plus
rusé de tous les animaux des champs que l’Éternel Dieu avait faits. I
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l’occasion entrevue d’aller à la divinité par un
plus
court chemin que celui du réel ; par un chemin que l’on inventerait s
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s utopies, trois moyens de gagner le monde par un
plus
court chemin que le sentier de Golgotha. À l’origine, le « méchant »
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sein de laquelle, ayant perdu son moi, on ne sait
plus
ce que l’on est en train de faire ou de dire, on ne sait plus ce qui
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l’on est en train de faire ou de dire, on ne sait
plus
ce qui parle à travers vous, tandis que le sang court plus vite, que
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ui parle à travers vous, tandis que le sang court
plus
vite, que les yeux brillent et deviennent fixes, et que les passions
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eur de la masse : fuir sa propre personne, n’être
plus
responsable, donc plus coupable, et devenir du même coup participant
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sa propre personne, n’être plus responsable, donc
plus
coupable, et devenir du même coup participant de la puissance divinis
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3:8-13) Voyez : ils vont se cacher, ils n’y sont
plus
. Et quand on les attrape, ils disent que c’était l’autre. Ainsi les h
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tre ! Et dans le lieu où l’on est, à coup sûr, le
plus
« loin de la face de l’Éternel ». Pour qu’il n’y ait plus de responsa
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oin de la face de l’Éternel ». Pour qu’il n’y ait
plus
de responsabilité, il faut qu’il n’y ait plus personne. Or si j’appel
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ait plus de responsabilité, il faut qu’il n’y ait
plus
personne. Or si j’appelle et qu’il n’y a pas de réponse, je dis qu’il
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ponse » ou responsable ; dans une foule, il n’y a
plus
de réponse individuelle ; pour qu’il n’y ait plus de responsable, il
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plus de réponse individuelle ; pour qu’il n’y ait
plus
de responsable, il suffit qu’il y ait une masse. Satan va donc créer
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sée des hommes de ce temps, elle a ses sources au
plus
intime des existences individuelles. Et c’est là seulement qu’on peut
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moins fascinant, il est sans doute la créature la
plus
poétique du monde, au sens romantique de ce terme. Il est beau aux ye
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traper, je vais vous dire où vous le trouverez le
plus
sûrement : dans le fauteuil où vous êtes assis. o. Rougemont Denis
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emble et à la longue, alors le Progrès devient le
plus
dangereux des soporifiques, une véritable drogue du démon, l’un de se
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asse dans le monde, et nous livrent aux ruses les
plus
simples du Malin. Nous avons éliminé de notre existence bourgeoise le
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pour une armée. Mais cette guerre-ci oppose bien
plus
que des armées. Elle oppose des conceptions de la vie. C’est une espè
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mes qu’il s’arrangera toujours pour ressembler le
plus
! C’est en vous seulement que vous le prendrez sur le fait. Et alors
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e les « primitifs » de la Mélanésie, victimes des
plus
célèbres études sociologiques du siècle, ont coutume de personnifier
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’il loge en lui-même. Mais voici une remarque des
plus
simples : personne n’a jamais prétendu qu’il agissait par mauvaise vo
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s dans le mal, nous sommes tous les complices des
plus
grandes responsables du monde. Cependant, évitons à tout prix un male
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ais si nous en sommes persuadés, il ne nous reste
plus
qu’à combattre le mal, en nous et hors de nous ; c’est le même mal !
70
re trop de recettes éprouvées : elle finit par ne
plus
croire au bien, ni au sérieux, ni à la naïveté, cette insondable ruse
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le goût de la forme imitée. Le milieu mondain le
plus
suavement correct et moral peut fort bien être préféré par le diable
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rois, parce que, dans le monde, un miracle paraît
plus
qu’ailleurs improbable. r. Rougemont Denis de, « Les tours du diab
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. Dans ces trois entités divinisées, le moi n’est
plus
déguisé qu’en un nous. Et ces trois entités ont ceci de commun : elle
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vérité purement humaine, et décrétant qu’il n’est
plus
d’autre vérité. Or, aux yeux de ceux qui les servent, l’homme n’exist
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esure où nous leur obéissons, nous ne sommes donc
plus
responsables de nos actes, mais elles le sont à notre place. Et comme
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ondre devant aucune instance supérieure, il n’y a
plus
de responsabilité nulle part. Mais s’il apparaît, à l’inverse, que no
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l’élan est donné, le mouvement est en marche, et
plus
rien ne peut l’arrêter. Nous aurons certainement le Conseil de l’Euro
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ne Américain, mais à cause de cela même, elle est
plus
claire et proche. Je voudrais l’appeler aujourd’hui la vision du beau
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à Londres ont bien vu cela, ils ne se laisseront
plus
arrêter par les chicanes techniques et les experts. Tout dépend de la
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ifique — que la Suisse a toutes les raisons de ne
plus
bouder — les Européens reprendront la tête du progrès humain. Ils ne
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a Réformation… Se pourrait-il qu’elle ait bientôt
plus
de réformateurs vivants et d’avenir que nous n’en vénérons dans notre
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», c’est qu’elle est l’entreprise qui a coûté le
plus
cher dans toute l’histoire de l’humanité — on la chiffre à peu près à
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00 milliards de francs — mais cette opération, la
plus
chère du monde, est aussi la moins motivée. Les motifs que l’on a all
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appliquer à un autre but, dont l’utilité eût été
plus
immédiatement apparente ? Oui, on aurait pu consacrer ne fût-ce qu’un
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diale : la conception marxiste elle-même n’aurait
plus
de sens. » Et à la grande stupéfaction de Wells, « Lénine, dit-il, me
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ts de productions, il est évident qu’elle ne vaut
plus
rien si on va sur la Lune — où les rapports de productions ne sont en
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’on le pensait. Au fur et à mesure que l’homme va
plus
loin dans l’espace, je me sens plus enfermé sur la Terre. C’est-à-dir
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ue l’homme va plus loin dans l’espace, je me sens
plus
enfermé sur la Terre. C’est-à-dire que je suis frustré par les dimens
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’espace. Et cela me ramène à l’amour de la Terre.
Plus
encore, cela me ramène à cette idée que la véritable aventure humaine
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ois que même du point de vue de la technique, les
plus
grands achèvements humains sont les plus simples, ceux qui demandent
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que, les plus grands achèvements humains sont les
plus
simples, ceux qui demandent le moins d’argent et qui finissent par se
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s, même la nature est faite par l’homme, il n’y a
plus
de nature sauvage. Il faut bien que l’homme moderne en prenne conscie
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t, ce n’est pas un défi. Simplement, nous n’avons
plus
le droit de nous cacher, même derrière Dieu. Quand on voit que les ch
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é ? », j’ai répondu : C’est quelque chose qui est
plus
fort que moi, et qui est l’espérance. C’est une volonté, un désir épe
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totalement pessimiste, si je pensais qu’il n’y a
plus
rien à faire, je n’écrirais pas — ou je raconterais des histoires. Si
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frontières, le même territoire, aux réalités les
plus
différentes ; culturelles, linguistiques, économiques, sociales, reli
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alisation, l’avantage donné à ce qui est toujours
plus
cher, plus dangereux, et permet à l’État de mieux contrôler les inves
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l’avantage donné à ce qui est toujours plus cher,
plus
dangereux, et permet à l’État de mieux contrôler les investissements,
99
ns une ville de 13 millions d’habitants, il n’y a
plus
ni communauté, ni responsabilité, ni liberté. Il n’y a plus que la pr
100
mmunauté, ni responsabilité, ni liberté. Il n’y a
plus
que la promiscuité des solitudes. z. Rougemont Denis de, « [Entret