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, ou un rusé, ou bien un lâche… Eh bien, tant pis
pour
moi ! Je demande à voir. Si l’on veut m’engager au nom du Christ, mon
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une part indiscutable et révélée du plan de Dieu
pour
notre époque ? Je me demande si la campagne en faveur du « réarmement
3
i se lancent dans une croisade ne le font-ils que
pour
sauver l’Église ? Et même dans ce cas, est-ce une raison pour renonce
4
l’Église ? Et même dans ce cas, est-ce une raison
pour
renoncer à toute clairvoyance ? À toute honnête information ? Le fana
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là ce que le diable juge assez bon, de nos jours,
pour
attraper les enfants de la Lumière ! J’aimerais beaucoup qu’on ne déd
6
’est que ce pieux ermite vint à la Diète de Stans
pour
apaiser les deux partis confédérés, à la veille d’une guerre civile.
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personne ; son conseil suffira, et son autorité,
pour
calmer les passions déchaînées. Le Solitaire est donc devenu la princ
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n. Il ne s’est libéré de certaines servitudes que
pour
mieux servir le Seigneur dans la personne de son prochain. Il n’a ren
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chain. Il n’a renoncé à ses travaux de paysan que
pour
mieux travailler au bien de tous. En fin de compte, sa retraite hors
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ristie et prophète des malheurs dus à la Réforme.
Pour
des fins partisanes non dissimulées, les politiciens des cinq cantons
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soutiens extérieurs, et les publicistes jésuites,
pour
la plupart étrangers, tentent d’éluder l’action politique du frère Cl
12
ignez le frère Claus à tous ceux qui ont témoigné
pour
le Christ contre l’Antéchrist. » Nicolas et le théâtre protestant
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ne met pas en pratique. Les cantons protestants,
pour
leur part, se repentent de leur orgueil. Et Nicolas, une dernière foi
14
t les chances d’une solution prochaine, équitable
pour
tous, et englobant les pays germaniques. Or l’erreur qui consiste à p
15
se inquiet, au protestant scandalisé que je suis,
pour
expliquer cette affligeante contradiction. D’autre part, où prend-on
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défendre l’État qui persécute son Église. Dis-moi
pour
qui tu acceptes de mourir, je te dirai en qui tu crois vraiment… Ces
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d’agir au nom de sa foi, d’agir dans le monde et
pour
le monde, dans la cité où il est né et pour son bien. Il n’a pas le d
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de et pour le monde, dans la cité où il est né et
pour
son bien. Il n’a pas le droit de s’en désintéresser et de laisser les
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équivoques sur ce point. Il ne manque pas de gens
pour
dire, écrire, ou simplement laisser entendre, qu’un bon citoyen suiss
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Veuillez d’abord, écrivait-il, avoir une religion
pour
vous, et si vous n’en voulez pas pour vous, mais seulement pour tout
21
ne religion pour vous, et si vous n’en voulez pas
pour
vous, mais seulement pour tout le monde, faites-nous la grâce de n’en
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glises protestantes, c’est de préparer le terrain
pour
la reconstruction fédéraliste du monde de demain. Si les totalitaires
23
’une perspective où nos « ismes » disparaîtraient
pour
se fondre dans une Église plus vaste. S’il fallait que je dise en une
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otestante est justement celle qui ne se donne pas
pour
la seule forme d’Église possible ; elle est l’Église qui accepte d’êt
25
ntir responsable devant le monde d’aujourd’hui et
pour
demain. g. Rougemont Denis de, « Perspectives d’avenir du protesta
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jusqu’à l’avant-dernière où nous voyons Satan lié
pour
mille ans, puis délié et déchaîné sur les quatre parties du monde pou
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délié et déchaîné sur les quatre parties du monde
pour
les tromper et pour les faire se battre sans raison alléguée, et fina
28
r les quatre parties du monde pour les tromper et
pour
les faire se battre sans raison alléguée, et finalement flamboyé par
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de flammes et de souffre avec ses faux prophètes,
pour
y être tourmenté nuit et jour, au siècle des siècles. La Bible, notez
30
es les plus secrètes. La parole nous étant donnée
pour
répondre à la vérité, et pour l’étendre et confirmer par la vertu du
31
e nous étant donnée pour répondre à la vérité, et
pour
l’étendre et confirmer par la vertu du témoignage, il est clair que l
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être de s’emparer de la parole dans notre bouche,
pour
altérer le témoignage dans sa source. Et c’est pourquoi la Bible dit,
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oureuses, peut-être à rajouter quelques pincées «
pour
le bon poids », pour le sourire de l’acheteur et la satisfaction de v
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rajouter quelques pincées « pour le bon poids »,
pour
le sourire de l’acheteur et la satisfaction de votre vertu. C’est là
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la connaître) ou à la nier (tout en sachant que,
pour
si peu, elle ne cesse pas d’exister). Mais le texte original de ce pa
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orbide du langage et des bonnes mœurs, est certes
pour
beaucoup dans la crise sexuelle dont souffre toute la bourgeoisie. Au
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ste des « après moi le déluge » et des « tant pis
pour
moi ». Il faut croire au pardon pour oser confesser le mal qu’on a co
38
s « tant pis pour moi ». Il faut croire au pardon
pour
oser confesser le mal qu’on a commis ; pour oser qualifier de faute s
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ardon pour oser confesser le mal qu’on a commis ;
pour
oser qualifier de faute sa propre faute ; et pour que puisse renaître
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sateur qui veut nous faire douter de notre pardon
pour
nous forcer à fuir dans les remèdes du pire. L’Apocalypse le désigne
41
s par amour de notre châtiment, par haine froide.
Pour
le stérile plaisir d’avoir raison. Aussi, partout où l’on condamne sa
42
iable qui parle, l’Accusateur qui tient le pardon
pour
une simple faute de logique, la grâce pour une erreur de calcul stati
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pardon pour une simple faute de logique, la grâce
pour
une erreur de calcul statistique. La duplicité infernale, c’est de no
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ger et agréable à la vue, et qu’il était précieux
pour
ouvrir l’intelligence : elle prit de son fruit et en mangea. » (Gen.
45
eu offre, un bien que l’on se figure « mieux fait
pour
soi ». Ève ne fut pas tentée par une chose mauvaise, mais par une for
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le et bonne pomme, agréable à la vue et précieuse
pour
l’esprit. Elle ne fut pas tentée par le désir de nuire, mais l’idée d
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paraît en somme une excellente idée. Par malheur,
pour
quelque raison littéralement fondamentale, Dieu n’aimait pas cette id
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ée, et du désir enfin de se détruire. Se détruire
pour
s’innocenter ! Pour échapper, à sa manière encore, aux conséquences d
49
n de se détruire. Se détruire pour s’innocenter !
Pour
échapper, à sa manière encore, aux conséquences du mal que l’on a fai
50
encore, aux conséquences du mal que l’on a fait ;
pour
se châtier soi-même sans réparer. C’est le mystère du suicide et la l
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au diable, de nos jours, le fait en masse. C’est
pour
cela que les gens se rassemblent en troupeaux, pour que l’hystérie na
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le crime. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat
pour
porter la main sur Caius Marius, telle est la vérité. Mais trois ou q
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définissable. Il est celui qui s’arrange toujours
pour
être à la fois juge et partie dans le procès de sa définition. Un êtr
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, l’action même du Saint-Esprit, toujours ambiguë
pour
notre doute et déconcertante pour notre raison. On sait assez que le
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oujours ambiguë pour notre doute et déconcertante
pour
notre raison. On sait assez que le procédé favori de la Cinquième Col
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rence chez celui qui l’a dénoncé, et qui se tient
pour
assuré dans sa bonne conscience. Au moment où vous croyez l’attraper
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u à la bonté foncière de l’homme. Par gentillesse
pour
les autres, évidemment… Mais c’est toujours une manière de croire aus
58
émon. Et donc enfin de lui laisser le champ libre
pour
nous duper. Nous avons cru que le mal était relatif dans le monde, qu
59
oyances, en grande partie superstitieuses, ont eu
pour
principal effet de nous aveugler sur la réalité de l’homme, c’est-à-d
60
e notre existence bourgeoise le sens du tragique,
pour
nous tourner exclusivement vers la recherche du confort et des vertus
61
ons, en présence d’un miracle du bien : trop beau
pour
être vrai ! nous disions en présence de certaines descriptions du mal
62
e de certaines descriptions du mal : trop affreux
pour
être vrai ! Cependant c’était vrai, mais cela nous gênait. Nous l’éca
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udrais que cela soit aussi simple ! Ne fût-ce que
pour
le moral militaire. Car, ainsi qu’aimait à le répéter un fameux génér
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n’est pas aussi simple qu’une gifle ne vaut rien
pour
la guerre. » C’est sans doute vrai pour une armée. Mais cette guerre-
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vaut rien pour la guerre. » C’est sans doute vrai
pour
une armée. Mais cette guerre-ci oppose bien plus que des armées. Elle
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té et qui se fait une caricature du vice d’autrui
pour
éviter de le reconnaître en lui-même. … C’est pourquoi nous dirons au
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car c’est à vous-mêmes qu’il s’arrangera toujours
pour
ressembler le plus ! C’est en vous seulement que vous le prendrez sur
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rieurs de la menace ne serait nullement suffisant
pour
nous en délivrer. Ces signes personnifient des possibilités qui exist
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que je vais laisser courir le criminel d’en face,
pour
mieux me livrer d’abord à ma réforme intérieure ! Je dirai au contrai
70
e intérieure ! Je dirai au contraire que la lutte
pour
me réformer et la lutte pour empêcher le criminel de poursuivre ses m
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ntraire que la lutte pour me réformer et la lutte
pour
empêcher le criminel de poursuivre ses méfaits, sont une seule et mêm
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moral de nous battre contre celui que nous tenons
pour
un coupable. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais si nous en
73
e maison, il faut des pompiers, coupables ou non,
pour
éteindre l’incendie ; et des policiers, coupables ou non, pour arrête
74
l’incendie ; et des policiers, coupables ou non,
pour
arrêter l’incendiaire. Or l’histoire nous a mis, bon gré mal gré, dan
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de leurs défauts. Et ce fut le Dieu de la raison
pour
les tempéraments rationalistes, le Dieu de l’instinct et de la passio
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onalistes, le Dieu de l’instinct et de la passion
pour
les hypercivilisés, le Dieu du succès pour les robustes puritains, le
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assion pour les hypercivilisés, le Dieu du succès
pour
les robustes puritains, le Dieu philanthrope pour les avares et les t
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pour les robustes puritains, le Dieu philanthrope
pour
les avares et les timides, etc. Tout ceci pour la bourgeoisie et le s
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pe pour les avares et les timides, etc. Tout ceci
pour
la bourgeoisie et le siècle individualiste. Les suivants, nos contemp
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rope, d’un œil critique. Un pauvre homme l’arrêta
pour
lui demander une cigarette, dans une langue de réfugié. Le Philanthro
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On nous avait promis un très bel œuf de Pâques
pour
cette année. On nous avait laissés entendre que les statuts de l’Asse
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n’est venu jusqu’ici. Eh ! bien, si ce n’est pas
pour
Pâques, ce sera donc pour la Trinité ! — et cela ne veut pas dire, co
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! bien, si ce n’est pas pour Pâques, ce sera donc
pour
la Trinité ! — et cela ne veut pas dire, comme dans la chanson, que n
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t son temps, mais aussi les distances nécessaires
pour
mieux voir le problème dans son ensemble, loin des détails et des dif
85
, loin des détails et des difficultés techniques,
pour
méditer dans la campagne anglaise… J’y pensais hier, dans mon jardin,
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ne Assemblée mondiale et d’un gouvernement unique
pour
toute la terre. Mais les Russes ont aussi leur vision, leur idée de l
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nxiétés mesquines, avec seulement votre curiosité
pour
tant de beautés antiques et nouvelles, votre fraternité pour tant de
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e beautés antiques et nouvelles, votre fraternité
pour
tant de peuples différents et si proches, — comme vous circulez aujou
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a nécessité de le gagner d’urgence, non seulement
pour
nous en Europe, mais pour la paix du monde entier, alors le principal
90
’urgence, non seulement pour nous en Europe, mais
pour
la paix du monde entier, alors le principal est fait. Et si les Dix a
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ous les experts de son époque, il se mit en route
pour
la joindre, et c’est ainsi qu’il trouva l’Amérique. Mais nous, quel c
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n ? Une Europe rajeunie, qui deviendrait soudain,
pour
nos yeux étonnés, la Terre promise !2 1. On sait que les dix pays
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perdre la face, en bâtissant le mur de Berlin non
pour
se protéger contre une attaque, mais pour empêcher tout un peuple de
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lin non pour se protéger contre une attaque, mais
pour
empêcher tout un peuple de fuir en masse le régime « populaire » ! Et
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attendent notre foi et nos œuvres. Beau programme
pour
l’année qui vient et pour la suite ! Presque tout reste à faire, il e
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œuvres. Beau programme pour l’année qui vient et
pour
la suite ! Presque tout reste à faire, il est vrai. Sachons du moins
97
« Que signifie
pour
vous la formule célèbre ‟Ecclesia reformata semper reformanda” ? » (2
98
tantisme, promis depuis longtemps à l’éditeur, et
pour
lequel je proposais, en guise de titre provisoire : La Réforme perman
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leur fin dernière, réinventés par chaque personne
pour
son usage réel et quotidien, avec tous les risques d’hérésie (hardime
100
Denis de, « [Réponse à une enquête] Que signifie
pour
vous la formule célèbre “Ecclesia reformata semper reformanda” ? », L
101
t introduit par la note suivante : « Que signifie
pour
vous, avons-nous demandé à quelques personnalités, la formule célèbre
102
iminuer la famine, à lutter contre la pauvreté ou
pour
une meilleure hygiène. Pourquoi est-ce qu’on a choisi l’espace, concr
103
ne cherche donc pas consciemment, on dira : c’est
pour
cela qu’on était parti et qu’on avait fait tout ce programme si coûte
104
esclaves, et qui l’a envoyé découvrir l’Amérique
pour
cela. Or les motivations réelles de Christophe Colomb étaient d’un to
105
urnal : c’était de financer une dernière croisade
pour
délivrer Jérusalem — motif mystique. Il ne pensait pas du tout découv
106
ards n’étant qu’une partie de la dépense totale —
pour
avoir un Moon-Hilton ? … devant des paysages désolés, absolument dése
107
ques, sociales et morales. » Alors là, il parlait
pour
lui ! Si pour lui, la seule doctrine véritable est le marxisme, qui e
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et morales. » Alors là, il parlait pour lui ! Si
pour
lui, la seule doctrine véritable est le marxisme, qui est une doctrin
109
théorie. Il n’y a pas de prolétariat sur la Lune,
pour
l’instant. Justement, et on ne va pas en créer un, j’espère que non…
110
de rien, elle ne demande pas de crédits spéciaux.
Pour
entrer dans le fond de soi-même, pour y découvrir des choses complète
111
s spéciaux. Pour entrer dans le fond de soi-même,
pour
y découvrir des choses complètement nouvelles, et réellement stupéfia
112
ais à laquelle personne au monde ne peut répondre
pour
un autre — ou sinon, où serait l’aventure ? x. Rougemont Denis de,
113
la crise dans laquelle nous nous sommes plongés.
Pour
la première fois de l’histoire, l’homme se voit contraint de choisir
114
oit que les choses tournent mal, il est trop tard
pour
dire : Ce n’est pas ma faute ! C’était l’autre, ou la fatalité… On en
115
her. Ils ne se sentent pas suffisamment impliqués
pour
dire autre chose que « Foutez-moi la paix ! je m’occupe de mes petite
116
que les hebdomadaires inventent de temps en temps
pour
faire monter le tirage… Par quel cheminement de votre existence en êt
117
vie d’avoir raison ; ils vous adjurent de changer
pour
éviter les désastres, et de leur donner tort en changeant de cap. Vot
118
par village, en hérisson, à appliquer à l’Europe
pour
lui éviter les grands affrontements : c’était la tactique suisse, que
119
e notamment ! Il faut s’éloigner de quelque chose
pour
savoir ce que c’est. En Amérique, il n’y avait rien sur la Suisse, al
120
ie du pays : le nucléaire ? Le nucléaire ! Il y a
pour
la Suisse, dès 1848, un danger certain : voilà un État fédéral, entou
121
et de Russie (remplaçant la dépendance des Arabes
pour
le pétrole), et les capitaux viennent de partout. Des Arabes, de nouv
122
. Des Arabes, de nouveau ? De partout, de l’Iran,
pour
40 % dans la société qui contrôle la construction de Superphénix (voi
123
a Commission des finances du Parlement français).
Pour
la Suisse, il en va de même : nous finançons le nucléaire grâce à six
124
spectives, disons que le nucléaire est trop grand
pour
un seul pays, et qu’il y constitue une menace pour la démocratie. Vou
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our un seul pays, et qu’il y constitue une menace
pour
la démocratie. Vous êtes membre du Groupe de Bellerive : que fait-il
126
internationales habitant Genève, qui s’est réuni
pour
mettre en garde non contre le nucléaire en général, mais contre le su
127
sation démentielle ! C’est pourquoi aussi je suis
pour
les régions, pour les petites unités qui sont de vraies communautés.
128
! C’est pourquoi aussi je suis pour les régions,
pour
les petites unités qui sont de vraies communautés. « Small is beautif