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ont Denis de, « Le temps des fanatiques », La Vie
protestante
, Genève, 25 novembre 1938, p. 1. b. Le texte est précédé de la note
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mpter, parmi les amis et collaborateurs de la Vie
protestante
, M. Denis de Rougemont, le jeune auteur romand dont la réputation n’e
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à s’annexer le « frère Claus », cependant que les
protestants
l’abandonnaient sans grand chagrin. Situation très paradoxale, si l’o
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de d’ensemble que viennent de publier Les Cahiers
protestants
. Je suis heureux de l’occasion qui m’est offerte de préciser ici les
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rtient à l’héritage commun des catholiques et des
protestants
suisses. Mais dès les premiers jours de la Réforme, la question se po
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der l’« ancienne foi » ! Voilà le conseil que les
protestants
devraient suivre ! Ce dernier argument ayant été repris par le cathol
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rique, le père de l’histoire de l’Église chez les
protestants
, fait l’éloge de Nicolas dans un ouvrage au titre significatif : « Ca
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t contre l’Antéchrist. » Nicolas et le théâtre
protestant
L’une des meilleures preuves de l’adoption spontanée de Nicolas no
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r les docteurs réformés, mais par les populations
protestantes
, je la trouve dans le théâtre de l’époque. Voici tout d’abord deux sa
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remier drame sur Nicolas de Flue est l’œuvre d’un
protestant
, l’Alsacien Valentin Boltz. Il ne comptait pas moins de 149 rôles par
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ctrines qu’on ne met pas en pratique. Les cantons
protestants
, pour leur part, se repentent de leur orgueil. Et Nicolas, une derniè
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rmés ont souligné. Ne conviendrait-il pas que les
protestants
, de nos jours, s’avisent de renouer leur tradition de Nicolas, et pré
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e ranger ainsi dans la vraie tradition du théâtre
protestant
, telle que l’illustre, par exemple, l’Abraham sacrifiant de Théodore
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colas de Flue, me dira-t-on, n’est pas un « sujet
protestant
» ? Eh quoi ! Abraham non plus n’était pas calviniste. Ce qui caracté
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était pas calviniste. Ce qui caractérise un drame
protestant
, c’est bien moins le sujet que le style, l’inspiration biblique, au p
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icolas de Flue et la tradition réformée », La Vie
protestante
, Genève, 1 septembre 1939, p. 8.
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mporte quel despote, pourvu qu’il fût Allemand et
protestant
». Or le despote est venu, cher M. de Reynold : il était Autrichien e
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Un billet, s’il vous plaît, au Suisse inquiet, au
protestant
scandalisé que je suis, pour expliquer cette affligeante contradictio
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ougemont Denis de, « De Luther à Hitler », La Vie
protestante
, Genève, 15 mars 1940, p. 1.
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gemont Denis de, « “Dieu premier servi” », La Vie
protestante
, Genève, 26 avril 1940, p. 1.
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f. Rougemont Denis de, « Neutralité », La Vie
protestante
, Genève, 3 mai 1940, p. 1.
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tive. Ici, la perspective qui s’offre aux Églises
protestantes
, c’est de préparer le terrain pour la reconstruction fédéraliste du m
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totalitaires sont vaincus, ce seront les nations
protestantes
et fédéralistes d’esprit qui auront obtenu la victoire. Elles ne saur
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Il groupe aujourd’hui les diverses dénominations
protestantes
, les anglicans, les orthodoxes grecs et russes, et les vieilles Églis
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livre de l’espèce d’étroitesse, de « nationalisme
protestant
», auquel nous sommes tentés de céder parfois, sous l’effet de la pol
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je dise en une phrase ce qui m’attache à l’Église
protestante
, plutôt qu’à aucune autre, je dirai ceci : L’Église protestante est j
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lutôt qu’à aucune autre, je dirai ceci : L’Église
protestante
est justement celle qui ne se donne pas pour la seule forme d’Église
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Perspectives d’avenir du protestantisme », La Vie
protestante
, Genève, 2 janvier 1942, p. 4.
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urs du diable I : “Je ne suis personne” », La Vie
protestante
, Genève, 15 octobre 1943, p. 1. i. Le texte est précédé de la note s
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er l’écrivain neuchâtelois aux lecteurs de la Vie
protestante
. La qualité de sa pensée et l’autorité de son jugement sont reconnues
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des meilleurs interprètes laïques d’une théologie
protestante
constructive. Sous le titre “Les tours du diable”, nous sommes heureu
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, « Les tours du diable II : Le menteur », La Vie
protestante
, Genève, 22 octobre 1943, p. 2.
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es tours du diable III : diable et sexe », La Vie
protestante
, Genève, 29 octobre 1943, p. 2.
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« Les tours du diable IV : L’accusateur », La Vie
protestante
, Genève, 5 novembre 1943, p. 2.
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« Les tours du diable V : Le tentateur », La Vie
protestante
, Genève, 12 novembre 1943, p. 2.
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e mal du siècle : la dépersonnalisation », La Vie
protestante
, Genève, 19 novembre 1943, p. 2.
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rs du diable VII : La cinquième colonne », La Vie
protestante
, Genève, 26 novembre 1943, p. 2.
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rs du diable VIII : Le diable démocrate », La Vie
protestante
, Genève, 3 décembre 1943, p. 2.
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iable IX : “Nous sommes tous coupables” », La Vie
protestante
, Genève, 10 décembre 1943, p. 2.
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du diable X : Le diable homme du monde », La Vie
protestante
, Genève, 17 décembre 1943, p. 2.
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du diable XI : Le diable dans nos dieux », La Vie
protestante
, Genève, 24 décembre 1943, p. 2.
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emont Denis de, « Printemps de l’Europe », La Vie
protestante
, Genève, 29 avril 1949, p. 1.
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w. Rougemont Denis de, « Bilan simple », La Vie
protestante
, Genève, 29 décembre 1961, p. 1.
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ecôte œcuménique. Vous avouerai-je qu’en tant que
protestant
, je me sens jaloux des possibilités réformatrices qui se manifestent
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Ecclesia reformata semper reformanda” ? », La Vie
protestante
, Genève, 29 octobre 1965, p. 1. v. Le texte est introduit par la not
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etien] La lune, ce n’est pas le paradis », La Vie
protestante
, Genève, 1 août 1969, p. 1-2. y. Propos recueillis par Pierre Desgra
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en] Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? », La Vie
protestante
, Genève, 1 décembre 1978, p. 1-2.