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a face de l’Éternel ». Pour qu’il n’y ait plus de
responsabilité
, il faut qu’il n’y ait plus personne. Or si j’appelle et qu’il n’y a
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degrés dans le mal, il y a des inégalités dans la
responsabilité
. Mais nous sommes tous dans le mal, nous sommes tous les complices de
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notre besoin de sensation, dans notre crainte des
responsabilités
, dans notre inertie civique, dans notre lâcheté vis-à-vis du grand no
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vant aucune instance supérieure, il n’y a plus de
responsabilité
nulle part. Mais s’il apparaît, à l’inverse, que nous ne coïncidons p
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du chapitre 3 de la Genèse. Vous en appelez à la
responsabilité
; c’est bien parce que vous avez une espérance. Laquelle ? À des gens
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e je dénonce : la dépersonnalisation, la perte de
responsabilité
(donc de liberté), la centralisation, l’avantage donné à ce qui est t
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ions d’habitants, il n’y a plus ni communauté, ni
responsabilité
, ni liberté. Il n’y a plus que la promiscuité des solitudes. z. Ro