1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 l n’avait été qu’un ascète, nous ne saurions plus rien de lui. C’est pourquoi les réformateurs insistèrent à bon droit sur s
2 anger. (R. Dürrer : Bruder Klaus, t. II, p. 851.) Rien d’étonnant, dès lors, si les premières biographies sérieuses de Nicol
3 anck dit à la fin de sa chronique : « Qu’il n’ait rien mangé, je ne puis le croire : les Suisses eux-mêmes ne l’affirment et
4 relle », il se bornait à dire : « Dieu le sait… » Rien d’étonnant non plus si, en 1522, un pamphlet catholique anonyme se pl
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
5 … Comprenons maintenant que le diable ne pourrait rien sans notre liberté. Car c’est par nous seulement qu’il agit dans le m
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
6 er de sa vie propre, où il ne se passerait jamais rien de semblable. Quant aux inconvénients et à l’ennui de cette vie propr
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
7 e qui n’est pas aussi simple qu’une gifle ne vaut rien pour la guerre. » C’est sans doute vrai pour une armée. Mais cette gu
5 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable X : Le diable homme du monde (17 décembre 1943)
8 ’élégance morale et de sagesse pratique. Il n’y a rien là de diabolique, tout au contraire. Le jeu mondain, s’il est bien jo
6 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
9 nt ceci de commun : elles ne sont responsables de rien devant personne, s’étant faites elles-mêmes les critères de toute vér
10 x, idéalistes, réalistes… » Le diable ne répondit rien  ; il souriait, tout en lisant un bout de papier qu’il venait de ramas
7 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
11 au européen avec la fête de la Résurrection. Mais rien n’est venu jusqu’ici. Eh ! bien, si ce n’est pas pour Pâques, ce sera
12 comme dans la chanson, que nous ne verrons jamais rien venir : car l’élan est donné, le mouvement est en marche, et plus rie
13 an est donné, le mouvement est en marche, et plus rien ne peut l’arrêter. Nous aurons certainement le Conseil de l’Europe, e
14 t donné l’appui de leurs noms célèbres, mais sans rien déchirer du tout. Il est sympathique et très pur. Il rêve d’une Assem
8 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
15 productions, il est évident qu’elle ne vaut plus rien si on va sur la Lune — où les rapports de productions ne sont en rien
16 Lune — où les rapports de productions ne sont en rien comparables à ce qu’ils étaient au xixe siècle, quand Marx a écrit s
17 Eh bien ! l’aventure intérieure, elle ne demande rien , elle ne demande pas de crédits spéciaux. Pour entrer dans le fond de
18 anscription de cet entretien télévisé, je ne vois rien à modifier à ce que je disais un mois avant le départ d’Apollo 11. Il
19 Mais si l’on découvrait demain que cela ne sert à rien  ? » Ce qui importe, c’est qu’un profond mouvement se dessine déjà, ju
9 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
20 lement pessimiste, si je pensais qu’il n’y a plus rien à faire, je n’écrirais pas — ou je raconterais des histoires. Si j’ai
21 ur savoir ce que c’est. En Amérique, il n’y avait rien sur la Suisse, alors j’ai écrit un petit livre intitulé Le Cœur de l
22 ous a beaucoup dit que le nucléaire civil n’avait rien à voir avec la guerre nucléaire ; ce n’est pas vrai. Les usines de re