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magine que le péché par excellence réside dans la
sexualité
. L’illusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la sexualité est
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lusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la
sexualité
est le domaine des tentations à la fois les plus sensibles et les plu
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mportance » ; ou les deux ensemble. En vérité, la
sexualité
en soi n’est pas plus diabolique que la digestion ou la respiration.
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ar excellence, qui se trouve être à leurs yeux la
sexualité
. C’est une vue bien bornée du péché ! Car même dans le cas où le frui
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ve et son désir de se diviniser à sa façon. Si la
sexualité
pouvait rester pure, c’est-à-dire purement animale, comme les autres
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spirituels où le serpent se love avec délices. La
sexualité
se distingue des autres fonctions naturelles par un certain manque de
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e le langage et les activités de l’esprit, que la
sexualité
donne prise au diable. Et certes il ne s’y intrigue pas davantage que
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issable, et dans cette mesure moins dangereux. La
sexualité
ne devient proprement démoniaque que lorsque l’esprit s’en empare, la
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ue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la
sexualité
insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de l’homme. Le sexe