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voir, celui qui estime encore que tout n’est pas
si
clair, ni si simple, ni si tranché, se voit aussitôt suspecté de conn
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qui estime encore que tout n’est pas si clair, ni
si
simple, ni si tranché, se voit aussitôt suspecté de connivence avec l
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ore que tout n’est pas si clair, ni si simple, ni
si
tranché, se voit aussitôt suspecté de connivence avec les « méchants
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… Eh bien, tant pis pour moi ! Je demande à voir.
Si
l’on veut m’engager au nom du Christ, mon seul salut, j’ai même le de
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non, je ne suis pas illettré ; mais je me demande
si
le trust des pétroles, qui mène la lutte contre la Russie rouge dans
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vraiment au nom de l’Évangile ? Et je me demande
si
cet ordre établi que l’on nous invite à défendre, et qui comporte ent
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: ils s’en vantent eux-mêmes. Mais je me demande
si
les soutiens de M. Franco, qui sont le Duce et le Führer, ne le souti
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as non, je les ai vus de près. Mais je me demande
si
le maintien de l’empire anglais et de l’hégémonie française est une p
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du plan de Dieu pour notre époque ? Je me demande
si
la campagne en faveur du « réarmement » résulte vraiment et d’abord d
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lle a répondu : le matin vient et la nuit aussi !
Si
vous voulez interroger, interrogez ! Convertissez-vous et revenez ! »
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nt sans grand chagrin. Situation très paradoxale,
si
l’on songe qu’au xvie siècle, Nicolas fut revendiqué par tous les ré
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nseils d’une grande sagesse pratique et participe
si
bien à la vie de son peuple que le simple message qu’il transmettra a
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e. Ce dernier point est capital. Car, après tout,
si
Nicolas est l’un des Pères de notre Confédération, c’est à son action
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en présence son souvenir servirait de patronage.
Si
nous lisons les recueils de sources sur Bruder Klaus publiés par Dürr
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Klaus, t. II, p. 851.) Rien d’étonnant, dès lors,
si
les premières biographies sérieuses de Nicolas sont dues à la plume d
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dire : « Dieu le sait… » Rien d’étonnant non plus
si
, en 1522, un pamphlet catholique anonyme se plaint de ce que les réfo
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t libérés des maîtres que Faber sert aujourd’hui…
Si
nous suivions les conseils du frère Claus, nous serions délivrés de c
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ugements sur les choses allemandes. Toute erreur,
si
minime soit-elle, toute appréciation erronée des origines, des fins e
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passe-t-il par Rome, et non point par Genève ? Et
si
l’on persiste à prétendre que le luthéranisme porte en soi les germes
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plus purement luthérien d’entre eux, la Finlande.
Si
l’on me fait l’honneur de répondre franchement, je m’engage à reconna
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tuel, une vocation positive. Car le chrétien est,
si
j’ose dire, un spécialiste de la vocation. Cette action particulière
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citoyen suisse a le devoir d’être chrétien, comme
si
ce devoir était la conséquence obligatoire d’un très ardent patriotis
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équence obligatoire d’un très ardent patriotisme.
Si
certains n’hésitent pas, dans leurs discours, à invoquer « le Dieu de
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rd, écrivait-il, avoir une religion pour vous, et
si
vous n’en voulez pas pour vous, mais seulement pour tout le monde, fa
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de quoi, ou de Qui, est-on tiède, est-on neutre ?
Si
c’est vis-à-vis du Christ, la parole évangélique nous apprend que cet
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aume de Dieu. « Je vous vomirai », dit le Christ.
Si
c’est vis-à-vis de la guerre des autres que l’on reste tiède, cette n
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conflit que nous jugeons mauvais. Reste à savoir
si
le conflit actuel est « mauvais ». Puis, si notre tiédeur suffira pou
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avoir si le conflit actuel est « mauvais ». Puis,
si
notre tiédeur suffira pour que le monstre de la guerre nous vomisse…
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la reconstruction fédéraliste du monde de demain.
Si
les totalitaires sont vaincus, ce seront les nations protestantes et
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victoire. Elles ne sauront la rendre féconde que
si
elles se laissent guider et inspirer par la tradition spirituelle qui
31
and nous croyons « encore » en Dieu, nous croyons
si
peu au diable que l’on m’accusera certainement d’obscurantisme, ou si
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bscurantisme, ou simplement de manque de sérieux,
si
je persiste en mon projet de lui consacrer de nombreuses pages. Le pr
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offensif aux yeux de la plupart d’entre nous. Car
si
le diable est simplement le démon rouge et cornu des mystères médiéva
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nnifié (tout au moins dans les textes originaux).
Si
l’on croit à la vérité de la Bible, il est impossible de douter un se
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de notre liberté qu’il agit en nous et nous lie.
Si
Ève n’avait pas été libre de manger cette pomme interdite, Ève n’aura
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comme il est deux manières de tromper un client.
Si
la balance marque 980 grammes, vous pouvez dire : c’est un kilo. Votr
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e restera relatif à la mesure invariable du vrai.
Si
le client contrôle, il peut voir qu’on le vole, et vous savez de comb
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onnaître) ou à la nier (tout en sachant que, pour
si
peu, elle ne cesse pas d’exister). Mais le texte original de ce passa
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us diabolique que la digestion ou la respiration.
Si
la majorité des Occidentaux se figurent que le péché originel fut l’a
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te d’Ève et son désir de se diviniser à sa façon.
Si
la sexualité pouvait rester pure, c’est-à-dire purement animale, comm
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symbole ou le signe physique. Or nous savons que
si
l’homme peut pécher, c’est uniquement parce qu’il est libre, c’est-à-
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e. Mais vous seriez probablement tenté d’y aller,
si
l’on vous suggérait quelque moyen de le faire. Ève ne pensait même pa
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un mal… Ainsi la tentation est toujours utopie —
si
l’utopie est l’imagination, puis le désir d’un bien que le réel conda
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sabilité, il faut qu’il n’y ait plus personne. Or
si
j’appelle et qu’il n’y a pas de réponse, je dis qu’il n’y a personne.
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— des autres, de nous, et donc de moi aussi. Mais
si
le diable est partout, sa figure se brouille. Et les définitions que
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il est devenu vous-même ! Mais alors ?… Eh bien !
si
vous voulez déjouer les tours du diable, si vous tenez sérieusement à
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ien ! si vous voulez déjouer les tours du diable,
si
vous tenez sérieusement à l’attraper, je vais vous dire où vous le tr
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’aucun progrès réel soit diabolique en soi ! Mais
si
l’on s’abandonne au rêve du Progrès, laissant aller les choses avec l
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l’écartions irrésistiblement de nos pensées… Car
si
ce « trop affreux » eût été vraiment vrai, il eût fallu agir d’urgenc
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il eût fallu agir d’urgence et sans réserve ; et
si
nous nous étions mis à agir sans réserve, nous aurions vu très vite q
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spèce de guerre civile mondiale. Elle sera perdue
si
nous perdons d’abord le sens de la réalité morale. ⁂ L’une des leçons
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gens d’en face, toujours, ou la force des choses.
Si
nous sommes révolutionnaires, nous croyons qu’en changeant la disposi
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nous supprimerons les causes des maux du siècle.
Si
nous sommes des capitalistes, nous croyons qu’en déplaçant vers nous
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vers nous ces mêmes objets, nous sauverons tout.
Si
nous sommes de braves démocrates, inquiets ou optimistes, nous croyon
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s « vitaux » (comme ils le sont toujours…). Mais,
si
je ressemble à un criminel, cela ne justifie pas le criminel, cela me
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ble. » — Nous sommes tous coupables, certes, mais
si
nous en sommes persuadés, il ne nous reste plus qu’à combattre le mal
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et militaires, conformément à la nature du péril.
Si
quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers, coupables ou
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que les autres ». Mais nous serons sûrement pires
si
nous ne faisons pas notre métier. q. Rougemont Denis de, « Les tou
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be espagnol, n’est pas à craindre parce qu’il est
si
méchant, mais parce qu’il est si vieux. C’est ce que l’on peut penser
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parce qu’il est si méchant, mais parce qu’il est
si
vieux. C’est ce que l’on peut penser aussi des gens du monde, et de l
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ction. Mais rien n’est venu jusqu’ici. Eh ! bien,
si
ce n’est pas pour Pâques, ce sera donc pour la Trinité ! — et cela ne
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tre fraternité pour tant de peuples différents et
si
proches, — comme vous circulez aujourd’hui d’un canton à l’autre de l
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e ces trois buts, en se fédérant il y a cent ans.
Si
l’on a bien vu cet enjeu, la possibilité de le gagner, et la nécessit
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du monde entier, alors le principal est fait. Et
si
les Dix ambassadeurs à Londres ont bien vu cela, ils ne se laisseront
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qu’elle vivait ! A-t-on remarqué le parallélisme,
si
frappant, entre la fin de la domination mondiale par nos nations, et
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t — mais de coexistence. C’était aussi l’opinion.
Si
vous voulez le fond de ma pensée sur l’aventure d’« Apollo », je vous
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s les livres d’histoire par exemple. Je pense que
si
on découvre un jour dans l’espace, grâce à des stations mises sur orb
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était parti et qu’on avait fait tout ce programme
si
coûteux ! Il s’est produit exactement la même histoire avec Christoph
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ire d’aujourd’hui, vous lisez très couramment que
si
Christophe Colomb est parti avec ses petites caravelles, c’est parce
70
e à explorer le temps, je l’ai compris moi aussi.
Si
nous arrivons à établir les communications interplanétaires, il faudr
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les et morales. » Alors là, il parlait pour lui !
Si
pour lui, la seule doctrine véritable est le marxisme, qui est une do
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uctions, il est évident qu’elle ne vaut plus rien
si
on va sur la Lune — où les rapports de productions ne sont en rien co
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es dans ces nouvelles dimensions de l’espace. Car
si
vous prenez une doctrine comme le christianisme, dont la base est l’a
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hain, je ne vois pas en quoi elle serait modifiée
si
deux hommes arrivent sur la Lune. Ils auront les mêmes problèmes de s
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ens : « Quel merveilleux exploit technique ! Mais
si
l’on découvrait demain que cela ne sert à rien ? » Ce qui importe, c’
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désir éperdu que la vie continue. Je ne sais pas
si
c’est une espérance chrétienne, c’est quelque chose qui m’est plutôt
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manière que l’histoire dure encore. Je sais bien,
si
on s’en rapporte à l’Apocalypse, que l’histoire temporelle finira mal
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ant un courant d’optimisme et d’espérance ? Oui !
Si
j’étais totalement pessimiste, si je pensais qu’il n’y a plus rien à
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pérance ? Oui ! Si j’étais totalement pessimiste,
si
je pensais qu’il n’y a plus rien à faire, je n’écrirais pas — ou je r
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n’écrirais pas — ou je raconterais des histoires.
Si
j’ai écrit ce livre, c’est que je prends tout à fait au sérieux l’ave
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ormation qui fait dire « bof » à des jeunes gens.
Si
on vient leur parler de menaces sur la vie physique de l’humanité, ça
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le fédéralisme est impossible dans un seul pays !
Si
on veut sauver le fédéralisme suisse, il faut l’étendre aux dimension
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partiennent à cinq pays (et je simplifie encore).
Si
le fédéralisme consiste à confier aux diverses communautés — municipa