1 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
1 rtout où l’on condamne sans pitié son prochain ou soi-même , soyez sûrs que c’est le diable qui parle, l’Accusateur qui tient le
2 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable V : Le tentateur (12 novembre 1943)
2 elui du réel ; par un chemin que l’on inventerait soi-même , en dépit des interdictions que posent les lois de la Création, l’ord
3 équences du mal que l’on a fait ; pour se châtier soi-même sans réparer. C’est le mystère du suicide et la logique de Judas, la
3 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
4 plaisirs démoniaques, qui consistent à se perdre soi-même , à se laisser volatiliser dans une puissance supérieure, au sein de l
5 d’ailleurs, une fois le coup réussi, on sera Dieu soi-même , donc maître de fixer le bien et le mal à sa guise. « Alors ils ente
4 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
6 ataliste et réconfortante que tout s’arrangera de soi-même , dans l’ensemble et à la longue, alors le Progrès devient le plus dan
5 1969, La Vie protestante, articles (1938–1978). La lune, ce n’est pas le paradis (1er août 1969)
7 de crédits spéciaux. Pour entrer dans le fond de soi-même , pour y découvrir des choses complètement nouvelles, et réellement st
6 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
8 i. La liberté c’est le pouvoir que l’on prend sur soi-même . Les seules condamnations absolues prononcées par Jésus sont dirigées