1
aient s’en tenir à l’éloge de son jeûne et de ses
visions
. Nicolas et les réformés Mort en 1487, c’est-à-dire trente ans
2
es d’État chargés de faire l’Europe auront-ils la
vision
nécessaire ? Les grandes visions Il y a peu de grandes visions d
3
e auront-ils la vision nécessaire ? Les grandes
visions
Il y a peu de grandes visions dans notre temps. Le souci des intér
4
? Les grandes visions Il y a peu de grandes
visions
dans notre temps. Le souci des intérêts immédiats et surtout la peur
5
et qui dépend de nous. Il y a très peu de grandes
visions
. J’en connais trois. Il y a celle du jeune Garry Davis. Elle est très
6
ur toute la terre. Mais les Russes ont aussi leur
vision
, leur idée de l’unité du monde sous les auspices du Kominform et de l
7
faute de Garry Davis… Il y a enfin une troisième
vision
, celle de l’Europe fédérée. Elle est moins vaste, en vérité, que cell
8
e et proche. Je voudrais l’appeler aujourd’hui la
vision
du beau temps européen, la vision d’un printemps de l’Europe où les f
9
aujourd’hui la vision du beau temps européen, la
vision
d’un printemps de l’Europe où les frontières et les barrières entre n
10
anes techniques et les experts. Tout dépend de la
vision
qu’ils auront. Il n’est point d’ordre politique qui serve l’homme, s’
11
l’homme, s’il n’est orienté dès le départ par une
vision
libératrice et fascinante. L’Europe se fera, parce qu’une équipe de v
12
ront vue et marchent vers elle. Il se peut que la
vision
qui les guide cache une réalité finale qui les surprenne. Christophe
13
ophe Colomb voyait les Indes, on nommait ainsi sa
vision
. Contre vents et marées, contre tous les experts de son époque, il se