1 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
1 aient s’en tenir à l’éloge de son jeûne et de ses visions . Nicolas et les réformés Mort en 1487, c’est-à-dire trente ans
2 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
2 es d’État chargés de faire l’Europe auront-ils la vision nécessaire ? Les grandes visions Il y a peu de grandes visions d
3 e auront-ils la vision nécessaire ? Les grandes visions Il y a peu de grandes visions dans notre temps. Le souci des intér
4  ? Les grandes visions Il y a peu de grandes visions dans notre temps. Le souci des intérêts immédiats et surtout la peur
5 et qui dépend de nous. Il y a très peu de grandes visions . J’en connais trois. Il y a celle du jeune Garry Davis. Elle est très
6 ur toute la terre. Mais les Russes ont aussi leur vision , leur idée de l’unité du monde sous les auspices du Kominform et de l
7 faute de Garry Davis… Il y a enfin une troisième vision , celle de l’Europe fédérée. Elle est moins vaste, en vérité, que cell
8 e et proche. Je voudrais l’appeler aujourd’hui la vision du beau temps européen, la vision d’un printemps de l’Europe où les f
9 aujourd’hui la vision du beau temps européen, la vision d’un printemps de l’Europe où les frontières et les barrières entre n
10 anes techniques et les experts. Tout dépend de la vision qu’ils auront. Il n’est point d’ordre politique qui serve l’homme, s’
11 l’homme, s’il n’est orienté dès le départ par une vision libératrice et fascinante. L’Europe se fera, parce qu’une équipe de v
12 ront vue et marchent vers elle. Il se peut que la vision qui les guide cache une réalité finale qui les surprenne. Christophe
13 ophe Colomb voyait les Indes, on nommait ainsi sa vision . Contre vents et marées, contre tous les experts de son époque, il se