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ns, s’ils ne portent pas sur eux cette Marque, se
voient
rejetés de la cité. Alors les amateurs de clés de l’Apocalypse disent
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est pas si clair, ni si simple, ni si tranché, se
voit
aussitôt suspecté de connivence avec les « méchants ». Il fait leur j
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uand on me dit, d’un autre côté cette fois : Vous
voyez
bien, les dictateurs sont les ennemis du christianisme ! — je ne dis
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du christianisme ! — je ne dis pas non, je les ai
vus
de près. Mais je me demande si le maintien de l’empire anglais et de
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tre les péchés du parti que nous adoptons. Car je
vois
que tous les partis sont, dans le fait, au service de grandes religio
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de la hiérarchie catholique. Au premier acte, on
voit
les évêques et les moines chassés de la scène à coups de fouet par le
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la vigilance. Puis il salue l’ange de Dieu qu’il
voit
venir à sa rencontre. Les satires zwingliennes et le mystère de Valen
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r que les milieux où cette erreur est professée y
voient
une arme non pas contre l’Allemagne, mais d’abord contre la Réforme :
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toutes fins transcendantes, telle que j’ai pu la
voir
à l’œuvre et telle que je l’ai décrite en plus d’un livre ? Certes, o
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nt être M. de Reynold, M. Massis, M. Maurras. J’y
vois
tout au plus un moyen d’esquiver des questions plus directes. Ces que
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s de l’Église évangélique de langue française. Je
vois
de grandes perspectives d’avenir devant le protestantisme. J’en désig
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epuis des millénaires, jamais « passées ». Qui ne
voit
qu’une telle religion hait mortellement et de toute sa nature la foi
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t la majorité des chrétiens du monde entier, nous
voyons
la réalisation d’un des grands idéaux calvinistes : la fédération org
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orme du serpent, jusqu’à l’avant-dernière où nous
voyons
Satan lié pour mille ans, puis délié et déchaîné sur les quatre parti
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nvariable du vrai. Si le client contrôle, il peut
voir
qu’on le vole, et vous savez de combien vous le volez : une vérité re
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dommage ! Sa curiosité pourrait bien être déçue.
Voyons
. Tout le monde s’imagine que le péché par excellence réside dans la s
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efeuille du voisin, mais presque tout homme s’est
vu
tenter de prendre la femme du voisin, soit en recourant aux raisons p
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, connaissant le bien et le mal. » (Gen. 3:1 à 5)
Voyez
: avant la tentation proprement dite, il y a le doute ! Le premier pr
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i le deuxième temps de la tentation : « La femme
vit
que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était p
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elle prit de son fruit et en mangea. » (Gen. 3:6)
Voyez
: ce n’est pas le mal en soi qui tente, mais c’est toujours un bien q
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du capitalisme et du nationalisme. Lui seul avait
vu
le diable à l’œuvre dans ces œuvres — les nôtres à nous, nations démo
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nt m’a séduite, et j’en ai mangé. » (Gen. 3:8-13)
Voyez
: ils vont se cacher, ils n’y sont plus. Et quand on les attrape, ils
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nous étions mis à agir sans réserve, nous aurions
vu
très vite que ce mal avait des racines dans nos vies aussi, et que d’
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es tous des « hommes de bonne volonté ». Pourtant
voyez
ce qui se passe dans le monde, et dites qui l’a fait. Le diable ? Oui
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vertissements de la chaire chrétienne, a toujours
vu
dans la « mondanité » quelque chose de vaguement satanique. Il imagin
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x dans nos vices que dans nos vertus satisfaites…
Voyez
plutôt. Un jour, un Philanthrope s’en allait le long de la rue. Il av
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veut pas dire, comme dans la chanson, que nous ne
verrons
jamais rien venir : car l’élan est donné, le mouvement est en marche,
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, mais aussi les distances nécessaires pour mieux
voir
le problème dans son ensemble, loin des détails et des difficultés te
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peur de la guerre nous empêchent trop souvent de
voir
loin, de voir grand, d’imaginer vraiment la paix, la paix vivante et
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erre nous empêchent trop souvent de voir loin, de
voir
grand, d’imaginer vraiment la paix, la paix vivante et passionnante q
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rands motifs de toutes les confédérations qui ont
vu
le jour au cours des siècles, et vous savez comment la Suisse a su at
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s, en se fédérant il y a cent ans. Si l’on a bien
vu
cet enjeu, la possibilité de le gagner, et la nécessité de le gagner
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it. Et si les Dix ambassadeurs à Londres ont bien
vu
cela, ils ne se laisseront plus arrêter par les chicanes techniques e
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alité finale qui les surprenne. Christophe Colomb
voyait
les Indes, on nommait ainsi sa vision. Contre vents et marées, contre
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isme, dont la base est l’amour du prochain, je ne
vois
pas en quoi elle serait modifiée si deux hommes arrivent sur la Lune.
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lement la Terre et le petit coin de ciel que nous
voyons
, permet de tirer des conclusions très ambiguës. Moi, j’ai une impress
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la transcription de cet entretien télévisé, je ne
vois
rien à modifier à ce que je disais un mois avant le départ d’Apollo 1
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. Pour la première fois de l’histoire, l’homme se
voit
contraint de choisir librement son avenir. Ce n’est donc pas dans une
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roit de nous cacher, même derrière Dieu. Quand on
voit
que les choses tournent mal, il est trop tard pour dire : Ce n’est pa
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ation — qui ne disait pas « bof », oh ! non — qui
voyait
très bien qu’elle allait devoir faire la guerre, une guerre qui n’éta
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iété qui contrôle la construction de Superphénix (
voir
le rapport de la Commission des finances du Parlement français). Pour
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on voulait nous le faire croire au xixe siècle. (
Voyez
Matt. 4 et Luc 4.) On ne peut pas vouloir à la fois la puissance, la