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ur ce petit être qui s’énerve, qui embrouille les
règles
, qui a sommeil, qui a peur de faire faux, parce que les autres auront
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’horaire des leçons. Ce malaise inavouable, cette
règle
méchante, ce souci qui renaît chaque jour, je pense que tout cela tie
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démocratiques, qui sont une généralisation de la
règle
de trois, aussi profondément certes qu’un Voltaire le fut par les jés
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simplifié, si évident, si parfaitement soumis aux
règles
d’une arithmétique élémentaire, ce monde dont la Démocratie apparaiss