1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 s’équilibrent, violence et mélancolie, paysages —  états d’âme imposant tour à tour le cynisme ou la bonhomie, tout cela baign
2 : et voici naître la conscience, c’est-à-dire, un état d’intensité mortelle de la vie. Car la conscience de vivre implique u
3 le col penché »… Contribution à l’archéologie des états d’âme.   L’Europe du sentiment, c’est notre Europe des adieux. Elle n
2 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 qui est le degré suprême de la signification. (L’ état de l’âme et du corps où tout nous apparaît en relations concrètes.)
5 voudrais-je un jour décrire ma Souabe : comme un état de l’âme patiente. Une pensée sensuelle et lente, et qui jouit parfoi
3 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
6 ontrainte. Est-ce là dire que le « retour » à tel état soit souhaitable ? La question me paraît, au concret, dépourvue de se
4 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
7 de la Suisse romande qui représente en ce pays un état d’anarchie permanente — sentimentale et non point politique — dont l’