1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 ances, traînée d’espoirs délivrés qui nous frôle, éveille chez ceux qui restent un sentiment confus d’exil et de plaisir dont s
2 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 de renaît dans des accords. Une mélodie hongroise éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se lève, il reconnaît son rêve
3 a dû jouer un rôle dans mes cauchemars. L’aube m’ éveille dans les faubourgs de Budapest, cheveux en désordre, pantalon plissé,
4 ein jour, tu t’endors, et que, vers le soir, tu t’ éveilles dans une lueur jaune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu vis
3 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 out dans une couverture sous mon bras. La ville s’ éveille et s’aère. Je me mets à grimper la colline parmi le bourdonnement des
6 ges ailés. Le vent qui glisse à travers ce jardin éveille en elle une allégresse semblable au frémissement des hautes branches.
7 arbre, ou bien une prairie. (Je suis rentré sans éveiller le chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Ma
8 es sortes de sensualités et de gourmandises qui s’ éveillent , en sont comme sanctifiées. Mais c’est le moment d’entamer le jambon
4 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
9 alète au ralenti, dans la fraîcheur sobre. L’on s’ éveille enfin du long voyage nocturne, les yeux cessent de cligner, le corps