1 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
1 e sur la vie, tout d’un coup, à trois heures de l’ après-midi par exemple —, non sans angoisse. iv De midi à quatorze heures
2 iel, là où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’ après-midi est immense. Nous buvons des vins dorés et doux que nous verse Ilonka
2 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
3 bre, où pénètre la facilité atroce de la fin d’un après-midi , ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle est tellemen
3 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
4 gnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’ après-midi j’ai rôdé, marchant, m’arrêtant pour écouter et respirer longuement,
5 de feuillages — et trois heures de tennis chaque après-midi  —, cure vraiment : il s’agit de dissoudre ces angles droits, ces symé
4 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
6 u chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’ après-midi est consacré à l’inspection des terres. Chaque jour nous partons en b
5 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
7 mandre n’est pas là. Il a téléphoné au début de l’ après-midi qu’il commençait un roman. Son absence nous fera-t-elle croire qu’il