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me une étrangère. Néanmoins, j’eusse un beau jour
cédé
à la tentation du pittoresque et défini, au goût du temps, les fronti
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le un peu ces lambris d’or, tu vois bien que tout
cède
aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise
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agnifique ! », dit quelqu’un près de moi. Ma tête
cède
, vient contre la colonne, paupières fermées, et c’est soudain une déc
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n, grand œil vide où paraît le vertige. Voici que
cèdent
les amarres des pelouses, tout le jardin monte sans fin dans le friss
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l’on est tenté de mentir, si fort tenté que l’on
cède
à coup sûr, en se persuadant que c’est pour des raisons « techniques
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ins étaient très douces, et lorsque mes paupières
cédaient
au sommeil, je croyais qu’elle était un arbre, ou bien une prairie. (
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u bord du ciel, devant la lumière maritime ; puis
cédaient
de l’épaule et l’on voyait le golfe violacé écumer sous la masse du s
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é les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’arbre
cède
et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan. Ces a