1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 me une étrangère. Néanmoins, j’eusse un beau jour cédé à la tentation du pittoresque et défini, au goût du temps, les fronti
2 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
2 le un peu ces lambris d’or, tu vois bien que tout cède aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise
3 agnifique ! », dit quelqu’un près de moi. Ma tête cède , vient contre la colonne, paupières fermées, et c’est soudain une déc
4 n, grand œil vide où paraît le vertige. Voici que cèdent les amarres des pelouses, tout le jardin monte sans fin dans le friss
3 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 l’on est tenté de mentir, si fort tenté que l’on cède à coup sûr, en se persuadant que c’est pour des raisons « techniques 
4 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 ins étaient très douces, et lorsque mes paupières cédaient au sommeil, je croyais qu’elle était un arbre, ou bien une prairie. (
5 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
7 u bord du ciel, devant la lumière maritime ; puis cédaient de l’épaule et l’on voyait le golfe violacé écumer sous la masse du s
8 é les troncs, et lorsque l’élan s’appuie, l’arbre cède et la bête se trouve sans défense. Tacite n’a jamais vu d’élan. Ces a