1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 u’on parle de paradoxe, Tartempion se souvient du café du Commerce, tandis que le premier des Doktor phil. venu évoque le co
2 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 . Mais je m’égare, laissons-là ces moutons. v Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pittoresque, mais il s’ag
3 noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid
4 alisme magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés , dans les halls universitaires, brodé aux devantures des magasins de
5 aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) xix
3 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
6 a rumeur et le cliquetis d’une grande terrasse de café au bord du Neckar, sous les marronniers. À quatre heures, l’orchestre
4 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
7 ante. Il reste de s’asseoir à quelque terrasse de café pour y boire à petits coups une amertume acide et tiède comme l’adole