1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 ues. Ce projet, d’autre part, flattait un certain goût du graphique et de l’imagerie stylisée qu’à la réflexion je trouvai t
2 cédé à la tentation du pittoresque et défini, au goût du temps, les frontières de certains pays dont on venait à peine de r
3 ies. À force de se craindre dupe, elle a perdu le goût de se risquer, de découvrir. Et l’impuissance qui déjà la frappe n’es
2 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 ars de sensibilité, bien que souvent européens de goûts et de curiosités, et dont Michel Babits est aujourd’hui le chef de fi
5 niciens ou intellectuels. Les Français aiment par goût du bavardage. Les Suisses aiment avec une bonne ou une mauvaise consc
3 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 à l’auberge. Le charme se compose de voluptés du goût et de l’odorat, de lenteur et d’une certaine puissance de l’esprit qu
4 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
7 us rafraîchissante, ni qui se marie mieux avec le goût du chevreuil, dont on mange presque chaque jour. L’après-midi est con
8 éfiances. Certains se sont faits communistes, par goût de l’énergie peut-être. J’ai vu des membres d’un parti national-marxi
9 l’Occident ? — Duquel ? Ou bien race liée au seul goût de sa puissance ? Il y a plus qu’un passé d’héroïsme dans ces château
5 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
10 enfin qu’il est perdu, il découvre la liberté. Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et