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qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait. Ma
mère
me dit : « Il va y avoir une averse. Cours à la rencontre de ton père
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car c’est la langue qu’elles apprennent de leurs
mères
». Combien j’aime ces sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Eu
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e, « pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa
mère
, avec un clin d’œil. C’est une jolie fille potelée, qui rit, — et qui