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tellectuelles, sur une petite superficie minérale
où
la vie se décompose avec virulence. Mais Stuttgart, plus moderne, pla
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en arguments sanglants. Et s’il est des domaines
où
de nos jours, l’on peut réclamer à bon droit l’économie de nuances va
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rdre imposé. Passant à la limite du sentiment, là
où
il prend une valeur d’acte ou de jugement, l’on peut symboliser l’opp
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latine. Elle tourne en sentiments dans la mesure
où
elle refuse de s’accomplir pleinement. L’Italien fait l’amour et n’ép
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s. Derniers refuges, vastes auberges de la Souabe
où
l’on chantait les chœurs de Schubert après boire — et les hommes parl
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veillance — un mot des campagnes… Et ces prairies
où
notre adolescence encore « marche, s’arrête et marche, avec le col pe
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e souvenir d’un soir d’adolescence sur la prairie
où
des filles s’éloignent en chantant. Voici la nuit du souvenir, brève
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et souvenirs de nos enfances. Ce soir des Signes
où
des renards sortirent à la lisière de la forêt, des renards qu’on n’a
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entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour,
où
nous irons avec ce qu’il restera de bonté dans notre cœur, plus inuti
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’arrêter le plan de la soirée, et cette promenade
où
il y avait juste assez de passants pour qu’on la sentît déserte ne me
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par une sorte de compromis sentimental, à l’Opéra
où
l’on donnait les Contes d’Hoffmann. Je comprends aujourd’hui le lien
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piano, c’est un duo des ténèbres et de la pureté
où
vibrent par instants les accords d’une harmonie surnaturelle. Et tout
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se. Elle n’est plus que l’approche d’une grandeur
où
se perdraient nos amours terrestres dans d’imprévisibles transfigurat
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ansfigurations — l’heure anxieuse et mélancolique
où
l’on quitte ce visage aimé pour d’autres plus beaux peut-être, mais i
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oses par votre souffrance… Mais le temps approche
où
vous n’aurez plus besoin de souffrir pour comprendre. Le faisceau de
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oi que ce fût d’immatériel. D’ailleurs le trouble
où
m’avait jeté la première reconnaissance empêcha ma raison d’interveni
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r moi, dit Gérard, je situe l’amour dans un monde
où
la question fidélité ou inconstance ne se pose plus. Vous le savez, j
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s6 ». Heureusement qu’au Moulin-Rouge, souterrain
où
nous nous engouffrâmes dans un grand bruit de saxophones et de cors a
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quefois j’en ramène des animaux aux yeux bizarres
où
je sais lire les signes. » Comme je ne répondais rien : « Avez-vous s
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te. Il dit que sa vie ressemble surtout à un film
où
les épisodes s’appellent par le simple jeu des images, se voient par
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udaient à la banquette d’un kiosque à « Würstel »
où
nous nous arrêtâmes. Au léger sifflement du bec de gaz sans manchon q
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ique. Hofmannsthal Un aquarium de lumière rose
où
nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirènes
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collections de vieux Venise, jusqu’au petit salon
où
il y a deux Bellini. Et que dire des portraits, des valets immobiles,
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drait aller au bar installé dans une petite salle
où
trépigne un orchestre russe, et y boire des liqueurs transfigurantes,
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’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon
où
beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui se p
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auss a levé la tête, il reçoit sur son bon visage
où
cette rosée divine fait perler une larme, la bénédiction de sa musiqu
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nnent. Tombé de mon silence parmi les bavardages,
où
irai-je avec peut-être un air de dégoût, par mégarde… On se presse au
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nent à vivre, dangereusement. Ô fête d’une époque
où
tout ce qui vaut qu’on l’aime oscille entre l’ivresse et la neurasthé
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reflets sur le parquet, venir par une salle vide
où
pénètre le ciel pâli. Transparents sous les lumières qui déjà retiren
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peu de nuage flotte sur le bassin, grand œil vide
où
paraît le vertige. Voici que cèdent les amarres des pelouses, tout le
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ait. Alors je me tourne vers ce visage très blanc
où
les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendresse, auprès de
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oisse plus bouleversante que l’amour, à la minute
où
l’on voit de très près, entre la nuit qui s’évapore et l’aube encore
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pore et l’aube encore vacillante, le vide absurde
où
s’en vont nos plaisirs et d’où remonte notre peine. Ah ! surprendre s
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e, le vide absurde où s’en vont nos plaisirs et d’
où
remonte notre peine. Ah ! surprendre sur un visage décontenancé, et j
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bert Gyergyai i Le dormeur au fil de l’eau
Où
s’asseoir ? Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il faudrait
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on visage gris ; leurs yeux stupides me demandent
où
je n’ai pas dormi. Le seul refuge est à l’avant, parmi des cordages,
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pu retrouver cette mélodie descendue d’un balcon
où
chantait la Schumann ; sans avoir pu retrouver le nom de qui l’on a r
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province, dans les combles d’un château prussien
où
tissaient d’incroyables araignées, partout où le désordre naturel des
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ien où tissaient d’incroyables araignées, partout
où
le désordre naturel des choses pouvait offrir asile à l’Objet inconnu
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passe ensuite à une seconde terrasse plus vaste,
où
il y a quelques arbres devant une sorte de tour peu élevée, à demi re
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teilles sont placées au hasard dans l’espace vide
où
tourne la fumée des cigares. Assis sur la banquette, quelques bougres
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les ai rêvées sur un divan, à cause d’un coussin
où
s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche su
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peut croire bien près d’être comblé dans ce pays
où
les courtiers ne donnent pas encore le ton. La littérature hongroise
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de file. Des amis m’emmènent le voir à Esztergom,
où
il passe ses étés. Esztergom est la plus vieille capitale de la Hongr
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chambres boisées entourées d’une large galerie d’
où
l’on voit le Danube gris-jaune, brillant, sans rides, la petite ville
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us de la plaine, pas tout à fait dans le ciel, là
où
doivent vivre ceux qui « chantent ». L’après-midi est immense. Nous b
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oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc,
où
très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysa
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serve de tout amour pour quelque bien particulier
où
je serais tenté de me complaire. Oh ! je sais ! — Je ne sais plus. —
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choir enfin dans une vaste culbute sur les divans
où
l’ivresse les lâche, affalés, tandis que les danseuses secouent leurs
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vauchées sous le soleil, des campements nocturnes
où
le souvenir des pays désertés enfièvre encore un désir de perdition i
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c lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’
où
tu viens, tu ne sais où tu vas, peuple de perdition, Peuple inconnu,
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ses mirages. On ne sait d’où tu viens, tu ne sais
où
tu vas, peuple de perdition, Peuple inconnu, — mais c’est toi, c’est
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ls l’ont égaré, comme ils égarent tout d’un monde
où
si peu vaut qu’on le conserve, au long d’un chemin effacé par le vent
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venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe
où
… évadé ? Mais soudain, c’est au silence que je me heurte, comme ré
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comme réveillé dans l’absurdité d’être n’importe
où
. Une panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les
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panique balaye la nuit déserte jusqu’à l’horizon.
Où
vas-tu, les mains vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précise
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ce qui t’appelle là-bas, maintenant, maintenant,
où
tu n’es pas — et tant d’amour perdu… Un train dormait devant la gare
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traper, comme un pan de la nuit fuyante, un songe
où
j’ai dû voir l’Objet pour la première fois — ou bien était-ce un être
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n de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais
où
cela mène, c’est une aventure qui relève de la métaphysique plus que
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e m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers
où
la présence de l’Objet deviendrait plus probable ? Ou bien n’ai-je su
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ule, de la solitude, de l’extase. 11. Expression
où
va se réfugier le dernier vestige de la sensualité des érudits. 12.
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ête de la plus haute poésie. Mais dans ce siècle,
où
tant de voix l’appellent, combien sont dignes de s’attendre au don du
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flammes. Dix années dans le Grand Jeu. Dix années
où
le génie tourmente cet être faible, humilié par le monde. L’amour s’é
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s une sérénité presque effrayante. Vient le temps
où
le sens de son monologue entre terre et ciel lui échappe. Il jette en
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agesse. » Mais le feu s’éteint — l’esprit souffle
où
il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loi
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erture. Il y a là une station de canots de louage
où
j’ai vite découvert un « Friedrich Hölderlin » à côté d’un « Hypérion
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uis, il lui est arrivé quelque chose de terrible,
où
il a perdu son âme. Et puis il n’est revenu qu’un vieux corps radotan
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es dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre,
où
pénètre la facilité atroce de la fin d’un après-midi, ces musiquettes
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e petite fièvre, — cette semaine de leur jeunesse
où
ils ont cru pressentir de grandes choses généreuses autour d’eux… Cel
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Bettina von Arnim-Brentano : Die Günderode. 15.
Où
il était précepteur. Mme Gontard est la Diotima de l’Hypérion et des
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quelques lumières au milieu d’une étroite vallée
où
le train longtemps côtoya une rivière, des forêts. Les rues sont vide
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s. Les rues sont vides jusqu’au cœur de la ville,
où
l’attend une ample demeure. Et maintenant le chien s’est tu ; des pas
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e présences et d’absences — la chambre principale
où
une lampe arrose la pesante nappe aux dessins brodés, des verres, des
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es et des pipes de méditation —, des pièces vides
où
la Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont
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amais ne s’y pose, et tous ces corridors si hauts
où
l’on devine à tâtons des armoires monumentales. Dans une chambre froi
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eau rococo et ce lit énorme aux édredons rebondis
où
l’on s’enfouit comme s’il était le sommeil même. Le bruit de la riviè
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n me paraissent peu nombreux, mais sait-on bien d’
où
il peut en sortir encore — sans compter les fantômes, probables ? Le
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çais, —et je le verrai bien, assure-t-il, le jour
où
il me confiera quelques fragments du « livre de sa vie », dont il com
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eurs aux abris, près d’une de ces maisons isolées
où
je ne l’amènerai jamais, à cette heure qui serait celle de rentrer ch
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oisissant parfois pour y sommeiller une lisière d’
où
l’on voit de lointains horizons, puis de nouveau m’enfonçant au hasar
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phrases, tout en allant comme en rêve sur l’herbe
où
s’étouffait tout bruit. « Ô crépuscule adolescent, disais-je, chasseu
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vagation. Les lisières sont des lieux de l’esprit
où
circulent des bêtes nées du rêve. Et l’Archer vierge y court en vain
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’étale ma couverture, et mes papiers sur la table
où
s’aventurent des cloportes. Je bourre une pipe. Et alors je ris, je r
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ces formes et ces voies qui sont celles mêmes par
où
la pensée entre en contact avec tout le mobile et l’ineffable du mond
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de la signification. (L’état de l’âme et du corps
où
tout nous apparaît en relations concrètes.) 31 mai 1929 Personn
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lle au collier de perles bleues. Après la partie,
où
l’on s’est renvoyé autant de regards que de balles : — « Je vous ai b
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ignore d’un être, dans le domaine sans frontières
où
l’on connaît profondément. Par les yeux d’une femme étrangère, mes ye
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le jeu, il provoque des lenteurs et des retards d’
où
naissent le désir et la conscience. De là des pertes de temps ; mais
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t. Et de la sorte, une ère de vitesse est une ère
où
la matière l’emporte. Provisoirement ; car il se produit ceci d’étran
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y en aura une douzaine encore jusqu’à Stuttgart,
où
je crois bien qu’on doit arriver vers 8 heures, J’ai d’abord essayé d
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que nulle part. Me voici tout environné de ville.
Où
trouver ici la lenteur des choses ? Où le désir peut-il errer, se ret
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de ville. Où trouver ici la lenteur des choses ?
Où
le désir peut-il errer, se retournant souvent vers son passé, méditan
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ubli jusqu’à ce qu’un souvenir bouge et s’émeuve…
Où
se perdre ? Où porter un regard amoureux du mystère, dans la puissant
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qu’un souvenir bouge et s’émeuve… Où se perdre ?
Où
porter un regard amoureux du mystère, dans la puissante circonspectio
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quittées pour cette ville à présent sans relâche,
où
les orages n’ont pas d’odeur, terrains morts où l’on n’a plus peur d’
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, où les orages n’ont pas d’odeur, terrains morts
où
l’on n’a plus peur d’un arbre immense, ni des femmes, mais de soi-mêm
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chauffeur immobile guette les ornières profondes
où
les roues s’enfoncent parfois avec un cahot mou. Le silence grandit ;
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t que du lait ». Et nous servent du thé bouillant
où
nagent des morceaux de glace. À ces détails près, le même train de vi
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un organe de l’autonomie qui ne trouve nulle part
où
s’exercer : d’où les conflits purement « moraux » qui nous empêtrent,
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tonomie qui ne trouve nulle part où s’exercer : d’
où
les conflits purement « moraux » qui nous empêtrent, jusqu’au-delà de
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t reçue quelque part en nous-mêmes, dans la brume
où
nous sommes perdus avec ce clapotis d’une eau étrangement vivante et
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et rien que nos yeux qui brillent dans l’étendue
où
nos deux formes confondent leur ombre et leur songe… Odeur de l’eau,
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cence, un désespoir de nuit d’été sous le tilleul
où
elle n’est pas venue… (C’est ici le lieu de l’avouer : je ne saurais
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une minute aux lisières odorantes d’une terrasse
où
nous voyons Charles-Albert Cingria, transfiguré par un souffle épique
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ion, nous avons gagné une rue pauvrement éclairée
où
l’on s’arrête. Le fantôme derrière nous claque la portière. Il fait a
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tres rêvés m’emportent ! — Ils me conduiraient là
où
je ne sais pas que j’ai si grand désir d’aller… Est-ce ici ? Je regar
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ux dominent des baraques éparses dans une brousse
où
s’engage délibérément notre fantôme. Il avance sans bouger les jambes
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golèse un Stabat Mater, le musicien quitta Naples
où
il habitait alors, abandonnant sa femme, et se mit à errer dans les c
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eule note, il se retrouva aux portes de Naples, d’
où
il n’eut que la force de regagner son logis. Comme il allait y pénétr
110
r un dernier feu, il se précipita dans sa chambre
où
il s’enferma, écrivit dans une grande fièvre tout le Stabat Mater, sa
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ieille, et mourut comme il l’achevait. ⁂ Partout
où
il y a de la musique, de l’Italie et une certaine qualité de désespoi