1 u dessin de la Carte du Tendre. C’est le cri d’un poète français, non d’un Français. 2. Hegel serait le philosophe par excel

2 , on voudrait comprendre ce qui se passe… Mais le poète referme son livre, plie ses lunettes, baise la main de la maîtresse d

3 eversants de perfection, gages d’un monde que les poètes essaient de décrire sans l’avoir jamais vu, et dont nous savons seule

4 nnaissance, ne se plaint de ce qu’il y ait peu de poètes par le monde. C’est dans l’ordre des choses, et l’on sait qu’il suffi

5 ât (l’Occident), revue fondée par ces deux grands poètes  : André Ady et Michel Babits. Ady, le sombre et pathétique, est mort

6 est dans la piscine que nous devons rencontrer le poète . Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruis

7 e, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète , sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d’une larg

8 que les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète  : car demeurer ici, c’est demeurer vraiment « en pleine nature », un

9 doux que nous verse Ilonka Babits (elle est aussi poète , et très belle), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaul

10 in qu’on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… xi Le retour d

11 ver dernier, m’occupant assez longuement d’un des poètes auxquels notre temps doit vouer l’attention la plus grave — car il vé

12 chirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce poète n’est peut-être que le lieu de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait

13 stinguera des choses nouvelles dans l’espace. (Au poète de les nommer.) 22 mai 1929 (Après avoir relu ce que j’écrivais

14 « pittoresque », cas déplorable, s’agissant d’un poète authentique. Le pittoresque. D’abord je crains que la notion n’en soi