1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 t et quelque chose qui vient combler ce vide. Une angoisse qui est un appel, et qui crée sa réponse — en vain. Le sentiment mes
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
2 e secret, inaccessible et pourtant complice d’une angoisse plus bouleversante que l’amour, à la minute où l’on voit de très près
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 réveil — délivré. Chez moi je suis la proie de l’ angoisse du courrier. J’attends la lettre, j’attends je ne sais quoi de très i
4 écho le plus pur. Le voyage trompe un temps cette angoisse . J’irai chercher moi-même, me suis-je dit, je ferai toutes les avance
5 is heures de l’après-midi par exemple —, non sans angoisse . iv De midi à quatorze heures On voyage de nos jours d’une faç
6 brasses prudentes avec aux jambes l’imperceptible angoisse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il fa
7 s lustrées de rêches végétations. J’ai traversé l’ angoisse lunaire des villages vides aux portes aveugles (j’avais peur du bruit
8 ssemble au voyage comme la maladie. C’est la même angoisse au départ, le même dépaysement au retour. « Il revient de loin » sign
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
9 e plainte… » Vivait-il encore ? Ce lieu soudain m’ angoisse . Mais le gardien : il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit