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ul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’
échec
, n’a jamais su tirer de ses défaites une espérance plus certaine, une
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ussi, ce Dieu qui nous sauve en dépit de tous nos
échecs
, c’est un Dieu qui veut être adoré sans partage ! On ne peut pas espé
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n’est plus un pauvre pantin du hasard ! Vienne l’
échec
, il en rend grâces à Dieu. À cause de l’échec ? Non point ; mais parc
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e l’échec, il en rend grâces à Dieu. À cause de l’
échec
? Non point ; mais parce que cet échec, si grand qu’il soit n’est rie
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cause de l’échec ? Non point ; mais parce que cet
échec
, si grand qu’il soit n’est rien, en regard du péché dont la foi nous
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out enfin se ramène à ceci : quel est le sens des
échecs
humains ? De la réponse qu’un homme fait à cette question, l’on pourr
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octrines qui veulent éduquer l’homme, ratent. Cet
échec
juge toute tentative transformatrice. Il n’est de politique que celle
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nte. Il a considéré la somme des réussites et des
échecs
humains, et sur cette somme, il a porté un jugement sans appel. Mais
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permis de mesurer la vanité des réussites ou des
échecs
humains ; mais c’est un bien qui n’est réel que pour celui qui veut l
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i ? C’est un homme qui a mesuré dans un instant l’
échec
total de ses activités, — et qui a cru à autre chose. C’est un homme
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ontemporain. Au terme de mon action, il y aura un
échec
ou un succès terrestre, peu importe : ce qui importe, c’est que l’act
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sera jamais justiciable de sa réussite ou de son
échec
terrestre. On peut et on doit dire plus : l’issue terrestre de l’aven
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nsidérer comme sa peine. Nous assistons au triple
échec
du cynisme grossier — « Je gagne mon bifteck » — de la morale bourgeo
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taient plus nécessaires qu’ailleurs, du fait de l’
échec
de la Réforme. Il n’en reste pas moins que, toute bourgeoise qu’elle
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eut servir qu’à masquer sur le terrain pratique l’
échec
d’une révolution qui ne sait pas où elle va. » Cartésienne ou hégélie