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ersitaire. 13. Voir à l’appendice : « Liberté ou
chômage
? » et « Loisir ou temps vide » ? 14. On sait que M. Jean-Richard B
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ssemblées pacifistes, les prières pour enrayer le
chômage
, les encycliques, les vœux, les résolutions, les protestations et les
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e l’heure rend particulièrement concret, celui du
chômage
, bornons-nous à montrer les conséquences fatales d’une erreur à peu p
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ieu de créer de la liberté, le machinisme crée du
chômage
. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourg
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’être illusoire, on s’est vu forcé de la baptiser
chômage
. Le chômage, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du
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ire, on s’est vu forcé de la baptiser chômage. Le
chômage
, telle est la véritable fin, tel est le véritable nom du Progrès, dan
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ire pour la clarté de la démonstration. Car si le
chômage
technologique provoqué par l’augmentation folle du pouvoir productif
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fait un salarié, — et de sa liberté on a fait le
chômage
. Mais la misère présente est un appel à l’homme. Seuls sauront y répo
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us savons le vrai nom du « temps vuide » et c’est
chômage
. Tout le mal est venu d’une séparation, d’une disjonction. Ou plutôt,
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isme créateur d’injustice sociale, de guerres, de
chômage
, d’immoralité publique et d’un mercantilisme général qui se manifeste
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ers non spécialisés, aux « nomades ». Du coup, le
chômage
se trouverait aboli, et la production dégagée des lois fatales de la
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al.) Prendre au sérieux des problèmes tels que le
chômage
, le machinisme, le fédéralisme ou l’État, — comme si les parlements e
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utre problème dont traite cet ouvrage (travail et
chômage
, machinisme, syndicats, échange et troc, crédit, taylorisme) les lien