1 ’atteste la réalité, la puissance, la vérité. Nul idéal humain de l’homme n’a jamais résisté à l’échec, n’a jamais su tirer d

2 L’homme des foules n’a que de la haine pour tout idéal un peu haut : il faudrait être fou pour persister longtemps dans l’ef

3 mais ils n’ont triomphé que par l’abdication de l’ idéal premier. En échange de leur promesse d’abandonner leurs exigences tro

4 me. Le souci des moyens et de leur convenance à l’ idéal qu’on sert peut sembler très naïf au politicien de métier : c’est qu’

5 teur de choix et de risque, et non plus un refuge idéal . Ne nous en plaignons pas : le risque est la santé de la pensée. ⁂ D

6 ussi, mais continuent d’évoquer la liberté et les idéaux supérieurs dont ils s’éloignent de plus en plus. Mais j’ai beau ne pa

7 umis à la nature, et en même temps qui propose un idéal standard, abstrait, dépersonnalisé, et mortellement monotone. À toute

8 point fait de main d’homme. Quel Dieu fait de nos idéaux pourrait nous certifier, dans le fond de nos âmes, un salut qui se jo

9 rvice ; ou sur une éthique de bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurité ; ou sur des intérêts plus

10 bonheur ; ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurité ; ou sur des intérêts plus bassement optimistes encore. T

11 ents de la vie chrétienne, le marxiste oppose son idéal d’assurance matérielle. Il dit à l’ouvrier : « Viens avec nous, nous

12 Le mérite du communiste est de réduire crûment l’ idéal qu’il propose à ce but le plus prochain. Pour plus tard et par-dessus

13 a vie, est purement païenne. Or, c’est l’épitaphe idéale pour le brigadier de choc. Staline a fait du travail une vertu absolu

14 fasciste enfin résume et codifie officiellement l’ idéal national que la culture et les mœurs de l’élite devenaient impuissant

15  ». 49. La confiscation par l’État fasciste de l’ idéal culturel d’une « nation » est clairement symbolisé par la substitutio

16 happer, — l’imposer. Ce n’est plus pour quelque «  idéal  » que nous avons à lutter maintenant, mais pour que les hommes vivent

17 ccepter de nous battre pour un « ordre » et des «  idéaux  » criminels. Il y a la guerre proche. La ferons-nous ? pour qui ? Il

18 e un risque permanent, essentiel. L’État marxiste idéal ne laisse subsister que les risques accidentels ; il réduit l’aventur

19 oin de fixer empiriquement le niveau de l’égalité idéale revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la Presse (payée par l’Ét

20 conflits quotidiens, des conflits d’intérêts et d’ idéaux , des conflits qui naissent de la diversité des régions et des races,

21 où il s’agit de confronter ses coutumes avec son idéal , car rien n’est plus contradictoire. Le Français moyen, né social, et

22 é sur la lâcheté humaine. C’est le contraire d’un idéal . Perspectives (I) Si l’Amérique se soviétise à son tour, si les

23 u’une première transition. L’avènement du régime idéal demandera des siècles de travail, de sacrifices et de police. Nous co

24 de combat, exciter des passions sans rapport aux idéaux qu’il s’agit d’imposer — et ce sont les mêmes passions —, discourir d

25 de purifier le monde de leurs moyens et de leurs idéaux , cette critique qu’ils nous font est naïve. Quand on travaille dans l

26 du marxisme, en tant que réalisation extrême des idéaux bourgeois, et du fascisme, en tant que fixation brutale du capitalism